Le premier ministre, Costas Caramanlis, a fait le point mardi en réunion du groupe parlementaire de la ND sur les grandes questions d'actualité, que sont les manifestations des jeunes, la crise économique internationale et l'enquête sur le monastère Vatopédiou du mont Athos, tranchant catégoriquement qu'il reste présent pour continuer à lutter pour les intérêts de la Grèce, donnant une réponse claire aux rumeurs d'élections anticipées et aux critiques de l'opposition.
"Nous condamnons avec horreur le tragique événement, et blâmons des comportements qui n'ont rien à voir avec le devoir de chacun", a déclaré M. Caramanlis, en référence à la mort du jeune de 15 ans tué par un policier samedi dernier, tout en dénonçant par ailleurs les violences, les incendies et les pillages qui ont suivi, pour réitérer que "ces ennemis de la paix sociale sont des ennemis de la démocratie", et qu'ils seront jugés.
Ce qu'a souligné toutefois le premier ministre, c'est que pendant toute cette période la stratégie du gouvernement a été de faire face à la violence avec sang-froid, d'éviter des pertes en vies humaines, ajoutant que les événements de ces derniers jours et les mobilisations des jeunes constituent un phénomène explosif et complexe qui nécessitera d'être analysé calmement, alors que du côté opérationnel, il faudra là aussi, a-t-il dit, prendre des décisions le moment venu.
Evoquant la crise financière internationale, M. Caramanlis a tenu à démentir ce qui s'entend dire sur les problèmes que constitue la dette publique, qualifiant ces affirmations de fausses, d'irresponsables et de dangereuses, reconnaissant certes en Europe, et à un moindre degré en Grèce, les inquiétudes à propos d'une flambée du chômage, du durcissement de la crise et de ses repercussions à tous les niveaux.
L'ampleur de la crise dépendra de toutes les forces politiques, a estimé M. Caramanlis, des organismes sociaux, en bref de la société, pour ajouter que nous devons dire toute la vérité aux citoyens, la gouvernance d'un pays ne revient pas à une seule formation politique, elle est la marche du pays tout entier, l'avenir de la nouvelle génération.
Concluant sur ce point, le chef du gouvernement a cité en chiffres les progrès réalisés au cours de ces 5 dernières années de la ND, mettant l'accent tour particulièrement sur les efforts du gouvernement de réduire la dette publique (en 2009, il faudra 12 milliards soit 19% des recettes, 5 % du Pib), et enchaîné en déclarant que notre objectif est d'assurer à tous des jours meilleurs. Nous sommes déterminés à être à la hauteur de notre rôle. Nous avons pris des mesures dès le début de la crise pour renforcer l'économie et limiter ses incidences sur la société.
Enfin, et sous les applaudissements des députés, M. Caramanlis a déclaré à propos de l'affaire du monastère Vatopédiou assumer avec droiture sa part de responsabilité, expliquant avoir mésestimer et pas saisi à temps la dimension de cette affaire, n'ayant pas eu - a-t-il dit - une image globale, et donc l'erreur est mienne et je la partage avec personne d'autre.
Un jour après la publication du rapport de la commission d'enquête parlementaire, le premier ministre a reconnu que dans cette histoire affligeante et s'échelonnant sur une dizaine d'années, certains ont agi à l'encontre de l'intérêt public, en profitant des faiblesses existant depuis longtemps et choisissant des organismes et des services. La justice tranchera sur les responsabilités.
Les critiques contre le principal parti de l'opposition n'ont pas manqué dans le discours de M. Caramanlis, en particulier à propos du Vatopediou, où le PASOK a tenté, a-t-il dit, de pénaliser la vie politique du pays, le premier ministre relevant encore que ce parti se livre à du populisme et à des distorsions de la vérité en ce qui concerne les répercussions de la crise financière.
http://web.ana-mpa.gr/anafrench/article…
L article en grec de In.gr qui en parle
http://www.in.gr/news/article.asp?lngEn…
La video
http://www.in.gr/video/default.aspx?vid…
[b]Epitelous enas ellinas politikos pou foraei pantelonia. Mporei na einai xalia kai autos alla toulaxiston iparxei enas pou foraei pantelonia.[/b]
SUr la chaine de l etat Net,des manifestant se sont empare de la camera et on carrement pirate la declaration du premier ministre
Christos Panagopoulos, directeur de la chaîne, s'est emporté contre ce qu'il a qualifié d'"acte de violence qui dépasse les limites de la démocratie".
leur message
[b]"Arrêtez de regarder, sortez dans la rue"[/b]
On voit qu il travaille pas les petits ahahahahah,il etait [b]l heure du midi,[/b],c est bien,ils se sont lever tot pour une fois ahahahah ,on voit qui travaille et qui glande ahahahahah,j ai des factures a payer et c est pas eux qui vont me les payer et pourtant ils en ont des thunes ces bourges
Eux,ils ont papa et maman qui travaille a leur place ahahahahah et les auront longtemps sur le dos vu que les ecoles et les unifs sont pas pres d ouvrir,leur metier,etudiant a vie ahahahahaah
http://www.youtube.com/watch?v=xeWKwQ4i….
Ils s amusent bien les petits,bien organiser tout ca et en plus ca donne des idees en Europe,la une a fait la une de tout les journeaux televises et presse ecrite
Les medias occidentaux les admires,ils veulent voir ca en live chez eux ahahahahah et apres ils diront mais c est quoi ce bordel ahahahahahah,ils nous ont casser le matos et nos camera ces jeunes entre guimets ahahahahahah
Pour le Vatopedio la comission parlementaire charge d examiner ce scandale ou tout les partis etait present a ete a son terme,les cinq partis present a la Vouli a chacun fait par de son etude sur ce scandale et elles sont contradictoire,chaque parti donne plus de tort a l autre,un vrai foutoire
http://www.in.gr/video/default.aspx?vid…
Mais la chef du KKE a nouveau reconnais que Karamanlis ne peut pas meme si il est le premier ministre savoir tout sur tout ,etrange n est ce pas
Voila sa declaration en grec
«Δεν δεχόμαστε αυτό που είπε ο κος Καραμανλής ότι υποτίμησε το ζήτημα. [b]Μπορεί να είναι ειλικρινής - και κανείς Πρωθυπουργός δεν μπορεί να γνωρίζει τα πάντα λεπτομερειακά.[/b] Η υπόθεση της Μονής Βατοπαιδίου όμως, είναι ζήτημα του γενικού πολιτικού προσανατολισμού σε σχέση με την εκκλησιαστική γη. Και γι’ αυτό, ούτε ο κος Καραμανλής, ούτε ο κος Παπανδρέου ήσαν ανύποπτοι» ανέφερε η γ.γ. του ΚΚΕ, Αλέκα Παπαρήγα στην ομιλία της στη Βουλή για το πόρισμα της Εξεταστικής Επιτροπής.
Alors que tout les autres chef de partis ont ete tres dure envers le premier ministre
Toutes les critiques des chefs de parti sont a lire en grec sur le site de Athens news
http://www.ana-mpa.gr/anaweb/user/selec…
Le porte-parole du PASOK, Georges Papaconstantinou, a confirmé mardi que le principal parti de l'opposition comptait demander la mise en place d'une commission parlementaire spéciale d'instruction préliminaire dans l'affaire du monastère Vatopediou, critiquant le premier ministre d'avoir mis 4 mois pour reconnaître enfin des responsabilités ministérielles, sans toutefois annoncer de démissions, mais aussi de parler d'une affaire scandaleuse et non d'un scandale.
Au pasok le cynisme est de rigueur et tout est mis sur le dos se Simitis
Invité à commenter s'il jugeait courageux la reconnaissance de responsabilités politiques par le premier ministre - chose que n'avait pas fait le gouvernement du PASOK en son temps, comme l'a soutenu M. Caramanlis -, M. Papaconstantinou a rappelé que dans des circonstances analogues, le président du PASOK avait pris des décisions politiques précises, voire douloureuses, concernant des cadres du parti, de même que l'avait fait, pour des cadres du gouvernement, l'ancien premier ministre, Costas Simitis.
Le porte-parole du PASOK, Georges Papaconstantinou a oublie de mentionner que l actuel president du Pasok,Georgaki etait ministre des affaires etrangeres de Simitis en 1999 a 2004 et la cerise du gateau,il a oublie de dire aussi que georgaki etait aussi ministre de l Education nationale et des affaires Religieuses deux fois 1988-1989 et 1994-1996 a l epoque ou les pourparler d echange de terrains avec le monastere du Vatopedio avait debuter
Etrange oubli du porte-parole du PASOK
Le dernier sondage de ce lundi montre ceci
[img]http://assets.in.gr/assetservice/Image…]
C est pour faire plaisir a Tsirigo qui aime bien les sondages
Le Syriza est en chute libre et redevient a nouveau le 4 eme parti,peu avant l ete passe ,il caracolait a pres de 18%,le pasok est devant la Nd de pres de 4.5%,le KKE reste stable
Il y a aussi Tsipras qui aime lui aussi les sondages mais pas les derniers ahahaha qui repond au Journal Ta nea
Ils critiquent tout le monde et evidement l ancien president du Synaspismos Konstantopoulos,je suis heureux que Konstantopoulos ,homme que j ai toujours respecte soit a la hauteur de son intelligence qui a toujours fait sa force et la sympathie que pouvais avoir le peuple grec pour l ex Synaspismos,Mais Tsipras le trainde dans la boue,j attendais pas mieux de lui de ce petit bourgeois mal eleve
http://www.tanea.gr/default.asp?pid=2&c…
Alavanos qui lui adorais les sondages il y a peu en ne jurant que par les sondages,lui va carrement fort,il dit que meme si le Syriza etait a moin 10% que pour lui rien ne changerais la politique du Syriza qu il considere juste,il panique,il veut faire le manga,mais il perd les pedalles,heureusement qu il est marie car vu que je l ai deja cotoye dans des bars a Kolonaki,pas seulement que s est un radin de premiere,il m a l air tres tres demarche legere,c est pas lui qui irais devant les MAT et devant le peuple en colere comme celui de Patras et de Larissa ,la semaine passe
Petite video de Patras
http://www.youtube.com/watch?v=5DlXzb50…
Ou l on voit meme le maire de Patras ,un mec du Pasok insulte et dire aux commercant et a la population qui protegeait leur quartier que ce sont des extremistes d extreme droite comme le suggerait OPPONG,n importe quoi ahahahahah en leur disant mais je suis la pour vous proteger ahahahahah
http://www.youtube.com/watch?v=5DlXzb50…
et pour qu on rigole un peu de tout ces pretentieux ,incapables etc etc
Allez voir cette emission
L emission satirique O Giorgos sfirikse... sur le theme des koukoulouforoi et les politiciens et tout ce qui s est passe la semaine derniere
A voir absolument,en grec evidement vous verrez Karamanlis dans son bunker entrain de regarder les emeutes avec son periscope et un detonnant face face Tsipras accompagne d un koukouloforos et Papariga avec son bodygard Mat
http://video.google.com/videoplay?docid…
Ta leme
Quoiqu'en disent les médias français, rien ne se calme en Grè
Quoiqu'en disent les médias français, rien ne se calme en Grèce !!!
17/12/2008 - Déploiement d'une banderole "RESISTANCE" sur l'Acropole :
http://www.rtbf.be/info/grecemanifestat…
16/12/2008 - Des jeunes grecs piratent le "FRANCE2 grec" en pleine allocution du 1er Ministre,
avec une banderole "ARRETEZ DE REGARDER LA TELE - TOUT LE MONDE DANS LA RUE" :
http://www.youtube.com/watch?v=xeWKwQ4i…
15/12/2008 - Les émeutiers utilisent des rayons laser pour aveugler les flics-porcs-assassins :
http://uk.youtube.com/watch?v=oZgTekSb-…
14/12/2008 - Les communiqués de la résistance se font de plus en plus rageurs :
http://emeutes.wordpress.com/
Alignés au mur, fils de pute ! Nous sommes arrivés pour prendre ce qui nous appartient…
En ces jours de rage, le spectacle comme une relation de puissance, une relation qui imprime son souvenir sur les objets et les corps, est confronté à un diffus contre-pouvoir qui déterritorialise le vécu, lui permettant de s’éloigner de la tyrannie de l’image pour s’aventurer dans le domaine des sens. Les sens ont toujours été perçus comme antagonistes (ils réagissent toujours contre quelque chose), mais dans les conditions actuelles, ils se dirigent vers une polarisation de plus en plus aiguë et radicale.
Des caricatures soi-disant pacifiques des médias bourgeois ( “la violence est toujours inacceptable, partout dans le monde”), nous ne pouvons que nous gausser : leur loi, leur loi d’esprit obéissant et consentant, de dialogue et d’harmonie ne sont rien d’autre qu’un bestial plaisir bien calculé : un carnage garanti. Le régime démocratique sous son verni pacifique ne tue pas un Alex chaque jour, précisément parce qu’il tue des milliers de Ahmets, Fatimas, JorJes, Jin Tiaos et Benajirs : parce qu’il assassine systématiquement, structurellement et sans remords l’ensemble du tiers monde, qui est le prolétariat mondial. C’est de cette façon, à cause de ce quotidien massacre à froid, qu’est née l’idée de liberté : la liberté non pas comme un prétendu bienfait humain, ni comme un droit naturel pour tous, mais comme le cri de guerre des damnés, comme le principe de la guerre.
La classe bourgeoise et son histoire officielle nous lavent le cerveau avec la légende d’un progrès graduel et stable de l’humanité au sein duquel la violence n’est qu’une désolante exception découlant d’un sous-développement économique, culturel et émotionnel. Pourtant, nous tous qui avons été écrasés entre les pupitres d’école, derrière les bureaux, les usines, ne savons que trop bien que l’histoire n’est rien d’autre qu’une succession d’actes bestiaux reposant sur un système de règles mortifères. Les gardiens de la normalité déplorent que la loi ait été violée par la balle du revolver de Korkoneas le Porc (le flic tueur). Mais qui ne sait pas que la vigueur de la loi est simplement la force de la puissance ? Que c’est la loi elle-même qui permet le recours à la violence contre la violence? La loi est vide de bout en bout, elle n’a aucun sens, ni aucun autre but que celui de déguiser la force du pouvoir.
Dans le même temps, la dialectique de la gauche tente de codifier le conflit, la bataille et la guerre, avec la logique de la synthèse des contraires. De cette manière, il construit un ordre, un état pacifié au sein duquel tout a sa propre petite place. Pourtant, le destin du conflit n’est pas la synthèse - comme le destin de la guerre n’est pas la paix. L’insurrection sociale contient la condensation et l’explosion de milliers de négations, pourtant elle ne contient en aucune de ses sous-parties, ni en aucun de ses moments, sa propre négation, sa propre fin. C’est toujours avec une certitude lourde et sombre qu’arrivent les institutions de médiation et de normalisation, de la gauche promettant le droit de vote dès 16 ans, le désarmement mais le maintien des porcs, l’État-providence, etc. En d’autres termes, en voilà qui souhaitent tirer un gain politique de nos blessures. La douceur de leur compromis suinte le sang.
Ceux qui sont contre la violence sociale ne peuvent pas être tenus pour responsables de ce qu’ils n’assument pas : ils sont destructeurs de bout en bout. Si les luttes contemporaines ont quelque chose à nous apprendre, ce n’est pas leur triste consensus sur un objet (la classe, le parti, le groupe), mais leur processus systématiquement anti-dialectique : pour eux, l’acte de destruction ne contient pas nécessairement une partie créative. En d’autres termes, la destruction de l’ancien monde et la création d’un nouveau monde sont pour eux deux processus discrets mais continus. Pour nous, la question est plutôt quelles méthodes de destruction de l’existant peuvent être développées en différents lieux et moments de l’insurrection ? Quelles méthodes peuvent non seulement maintenir le niveau et l’ampleur de l’insurrection, mais contribuer à son amélioration qualitative ? Les attaques de commissariats, les affrontements et les barrages routiers, les barricades et les batailles de rue, sont maintenant un phénomène social quotidien dans les villes et au-delà. Et ils ont contribué à une déréglementation partielle du cycle de production et de consommation. Et pourtant, ils ne sont qu’une attaque partielle de l’ennemi ; il est évident que nous restons piégés dans une seule et unique dimension de l’attaque contre les relations sociales dominantes. Car le processus de production et de circulation des marchandises en lui-même, autrement dit le capital comme relation, n’est qu’indirectement touché par les mobilisations. Un spectre plane sur la ville embrasée : celui de la grève générale sauvage à durée indéterminée.
La crise capitaliste mondiale a ôté aux patrons leur réponse la plus énergique et la plus mensongère à l’insurrection : «Nous vous offrons tout et pour toujours, alors que tout ce qu’eux peuvent vous offrir n’est qu’un présent incertain”. Avec ses entreprises qui s’effondrent les unes après les autres, le capitalisme et son Etat ne sont plus en mesure d’offrir quoi que ce soit d’autre qu’un lendemain pire de jour en jour, une situation financière asphyxiante, des licenciements, la suspension des pensions de retraite, des coupes dans les budgets sociaux, la fin de la gratuité de l’enseignement. Au contraire, en seulement sept jours, les insurgés ont prouvé par la pratique ce qu’ils peuvent faire : transformer la ville en un champ de bataille, créer des enclaves de communes dans l’ensemble du tissu urbain, abandonner l’individualité et sa sécurité pathétique, rechercher la formation de leur force collective et la destruction totale de ce système meurtrier.
À ce moment historique de la crise, moment de rage et de rejet des institutions auquel nous sommes finalement parvenus, la seule chose qui peut transformer le système de déréglementation en une révolution sociale est le rejet total du travail. Quand les combats se dérouleront dans des rues assombries par la grève de la compagnie d’électricité, lorsque les affrontements auront lieu au milieu de tonnes de déchets non collectés, lorsque les tramways seront abandonnés au milieu des rues, bloquant les flics, lorsque l’enseignant en grève allumera le cocktail molotov de son élève révolté, nous serons enfin en mesure de dire : Camarade, “les jours de cette société sont comptés ; ses raisons et ses mérites ont été pesés, et trouvés légers”. Aujourd’hui, cela n’est plus un simple fantasme, mais une possibilité réelle dans la main de chacun : la possibilité d’agir concrètement sur le concret. La possibilité d’apercevoir les cieux.
Si tout cela, à savoir l’extension du conflit dans la sphère de la production-distribution, avec ses sabotages et ses grèves sauvages, semble prématuré, ce ne serait que parce que nous n’avons pas réalisé à quelle vitesse le pouvoir se décompose, à quelle vitesse les méthodes de confrontation et les formes de contre-povoir se diffusent socialement : des lycéens qui caillassent les commissariats aux employés municipaux et aux voisins qui occupent les mairies. La révolution ne se fait pas par la croyance et la foi en des conditions historiques à venir. Elle se fait en saisissant n’importe quelle occasion d’insurrection dans chaque aspect de la vie sociale, en transformant notre animosité envers les flics en une grève définitive aux pieds de ce système.
Dehors les porcs !
14 décembre 2008 - Initiative du Comité d’Occupation de l’Ecole Athénienne d’Economie et d’Affaires
http://emeutes.wordpress.com/
Σε απάντηση του Quoiqu'en disent les médias français, rien ne se calme en Grè από Martin
Re: Quoiqu'en disent les médias français, rien ne se calme en
Mais quelle propagande communiste, quel appel à la haine et au meurtre. Que leurs auteurs aillent donc en Corée du nord vivre leur idéal. Il n'y a eu que trop de sang versé par ce genre de régime. Staline à mieux "réussi" que Hitler ...
Ces gens sont les pires fachistes qui puissent exister. j'espére que les Grecs vont reprendre les choses en main et arrêter ce suicide (à qui profite le crime ??)
Σε απάντηση του Re: Quoiqu'en disent les médias français, rien ne se calme en από Roland
Extreme gauche ou extreme droite ,sale ou propre, tout engraisse
Martin pour tes betises
Celui qui vit comme une bête meurt comme un porc
Les pseudos revolutionnairres sont souvent des nantis avare
L'avare et le porc ne sont bien qu'après leur mort
Qu on soit d extreme droite ou de gauche
Sale ou propre, tout engraisse le porc
Le travail n est pas pour les delicats
Un porc délicat n'est jamais gras
Et lorsque on ne l assiste pas
Un porc qui n'est pas payé, grogne toujours
Toujours assoife de betise
Quand le porc a mangé, il se couche
Tout est bon dans le cochon
http://www.cinemannecy.fr/tout-est-bon…
[b]Tient Martin,ton pote jean t avais dis dans chaque francais ,il y a un cochon qui sommeille AHAHAHAHAH[/b]
http://www.dailymotion.com/video/x237vj…
Voyou anarchiste ,mauvais francais
http://www.dailymotion.com/related/x237…
[b]Martin il t as pas dit vous n avez pas honte d exister ahahahahahah[/b]
Gabin avait dit parce que vous les exploitez en plus,dit donc j ai bien envie de te denoncer pour t a prendre a vivre,tu vois a quoi ca sert qu on les respecte,racaille va, pas,des gens qui on une conscience comme ca ,ca me revolte,je vais tous vous mettre en prison,parfaitement,pas de pitie en prison,[b]VOYOU, ANARCHISTES,MAUVAIS FRANCAIS[/b]
Salaud de pauvres qui disait Gabin AHAHAHAHAHAH,pauvre de culture
Extreme gauche ou extreme droite ,sale ou propre, tout engraisse le porc
Alors Martin t es bete,avare,sal ou propre,delicat,t es pas paye,pourquoi tu grogne,t as mal manger,il est temps que tu te couche ahahahahahah
Ta leme