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l empire byzantin

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L empire byzantin

http://www.youtube.com/watch?v=0JVgApd-…

L'Empire Byzantin est un truc que personne ne connaît, dont personne n'a rien à foutre, et qui a pour principale propriété d'être incroyablement compliqué et ennuyeux

http://desencyclopedie.wikia.com/wiki/E…

Et pourtant l education nationale en France comme en belgique ne se casse pas trop la tete avec des querelles byzantines

Retenons les principales étapes:

- 11 mars 325: fondation de Constantinople par l'empereur Constantin le Grand,

- 395: division définitive de l'empire romain entre l'empire d'Occident et l'empire d'Orient par l'empereur Théodose 1er,

- 527-565: règne de Justinien 1er, empereur d'Orient, qui réunifie brièvement l'empire et publie une magnifique synthèse du droit romain,

- 614: prise de pouvoir par Héraclius et passage de l'empire d'Orient (de tradition gréco-latine) à l'empire byzantin (de tradition et de culture grecques),

- IXe siècle (au temps de Charlemagne): Cyrille et Méthode évangélisent les Slaves de l'Europe orientale (Serbes, Russes,...),

- 1054: rupture définitive entre l'Eglise catholique romaine, dont le pape est le chef suprême, et l'Eglise orthodoxe d'Orient, dirigée par des patriarches dont celui de Constantinople, fin de l'Empire byzantin (1453).

- 12 avril 1204: conquête et saccage de Byzance (Constantinople) par des croisés venus d'Occident,

- 29 mai 1453: prise de Constantinople par les Turcs, fin de l'empire byzantin.

http://www.herodote.net/sc51.php

http://www.clg-doisneau-gonesse.ac-vers…

Bon commencons pas les cartes des epoques

Allez voir ce site parfait euratlas concernant les cartes politiques

Les cartes de l Europe et du bassin mediterraneen de

1 à 1000: cartes historiques et politiques de l'Europe

http://www.euratlas.net/AHP/ruban1.htm

1100 à 2000: cartes historiques et politiques de l'Europe

http://www.euratlas.net/AHP/ruban2.htm

Cliquez sur le lien Grande carte a chaque carte pour voir la vue d ensemble

Le plan de la ville de constantinople,vous pouvez la zoomer jusqu a voir les edifices de l epoque

http://www.roman-emperors.org/C150.htm

un peu de vocabulaire

Empire byzantin : le nom vient de la ville de Byzance rebaptisée Constantinople au IVe siècle. L’empire byzantin désigne les territoires restés sous la domination des empereurs romains d’Orient après la chute de l’Empire romain d’Occident en 476.

Byzance (Constantinople) : Nom de la colonie fondée par les Grecs au VII° siècle av. J-C.. Au IVe siècle, Byzance devient Constantinople du nom de l’Empereur Constantin (306-337). Depuis 1926, elle a pris le nom d’Istanbul.

« Nouvelle Rome » : Nom donné à Constantinople, capitale de l’Empire byzantin. Elle est fondée en 330 par l’empereur Constantin à l’emplacement d’une ancienne ville grecque, Byzance, créée au VIIe siècle avant J-C sur le détroit du Bosphore. Constantinople occupe une position remarquable, à la fois site de défense naturel protégé par la mer sur deux cotés et lieu de croisement des routes terrestres et maritimes entre l’Europe et l’Asie. Sa situation stratégique en fait un carrefour commercial de première importance.

« Latins » et « Grecs » : les « Latins » sont les Occidentaux chrétiens catholiques qui utilisent effectivement la langue latine alors que les Byzantins ou « Grecs » s’expriment en grec.

Basileus : mot grec signifiant « roi » ; titre adopté par l’empereur dans l’Empire byzantin

Justinien Ier : Empereur d’Orient (527-565), il rétablit l’autorité impériale à Constantinople et reconquiert une grande partie de l’ancien Empire romain (Afrique du Nord, Italie et Andalousie). Il est célèbre pour l’édification de la basilique Sainte-Sophie et le Code Justinien, ensemble de lois fondées sur le droit romain qui restent le fondement du droit civil moderne. Sous son règne la langue grecque est adoptée dans l’administration à la place du latin

Théocratie : (du grec « théos » , Dieu et « kratos » , pouvoir ) système politique dans lequel le détenteur du pouvoir affirme agir au nom de Dieu et possède une autorité politique et religieuse

Comnène (dynastie): Empereurs byzantins qui règnent de 1081 à 1185. Alexis Ier (1081-1118) affronte les invasions turques et normandes, ainsi que les premières croisades. Son règne est bien connu grâce au récit de sa fille Anne : l’Alexiade. Son petit- fils Manuel Ier (1143-1180) écrasé par les Turcs à la bataille de Myrioképhalon (1176) laisse un Empire très affaibli

http://209.85.135.104/search?q=cache:O_…

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alex

Histoire de l empire Byzantin

Le 11 mai 330, aux rivages du Bosphore, Constantin inaugurait solennellement sa nouvelle capitale, Constantinople.

Pourquoi, abandonnant l’ancienne Rome, l’empereur transportait-il en Orient la résidence de la monarchie ? Outre qu’il avait peu de goût personnel pour la ville païenne et frondeuse des Césars, Constantin la jugeait, non sans raison, mal placée pour suffire aux nécessités nouvelles qui s’imposaient à l’empire. Le péril goth, le péril perse menaçaient sur le Danube et en Asie ; les fortes populations de l’Illyricum offraient pour la défense des ressources admirables ; pour organiser cette défense, Rome était trop loin. Dioclétien déjà l’avait compris, et lui aussi avait senti l’attraction de l’Orient. En tout cas, le jour où Constantin fonda la nouvelle Rome, l’empire byzantin commença.

http://www.mediterranee-antique.info/Di…

Ce site est fort fort interessant

http://www.mediterranee-antique.info/

Allez lire du meme auteur

Etudes Byzantines de Charles Diehl

http://books.google.com/books?id=k9Fylx…

hyppodrome

http://www.youtube.com/watch?v=AjrnvDn2…

Hagia Sofia en image virtuelle

http://www.youtube.com/watch?v=EtGr5w4K…

Differentes chronologies de L'EMPIRE ROMAIN D'ORIENT
(395-1204)

http://www.e-chronologie.org/moyen-age/…

http://pythacli.chez-alice.fr/civilisat…

http://www.linternaute.com/histoire/con…

Dans l'Europe médiévale, et plus spécifiquement après le sacre de Charlemagne, le rapport à Byzance se caractérise essentiellement par un désir d'absorption de l'Empire romain d'Orient, jugé inutile — rêve que concrétisera, pour un temps, la prise de Constantinople par les Croisés en 1204

Byzance en Europe rassemble quinze travaux historiographiques (si l'on inclut préface, introduction et conclusion), qui ont été présentés au XXe Congrès International des Etudes Byzantines, à Paris, en 2001.

http://www.fabula.org/revue/cr/446.php

Un colloque fort parlant

L heritage et le savoir byzantin fut transmis aussi a l epoque de l empire latin

L'apprentissage des disciplines «mathématiques» (le «Quadrivium» occidental) se voyait couronné par celui de la philosophie ; leur étude était parfois complétée avec celle de la médecine, humaine et vétérinaire, et de la pharmaceutique. Ces différentes branches du savoir byzantin, qui vont de la philosophie à la pharmaceutique, sont représentées dans ce volume grâce au concours des spécialistes reconnus pour les disciplines examinées. Quant à l'axe principal autour duquel s'organisent les contributions composant ce volume, il s'agit de celui de la transmission à Byzance, pendant la période envisagée, des textes, et, aussi, des idées et des concepts, ces derniers circulant comme les textes et par les textes. Les sujets de transmission, textuelle ou doctrinale, passés en revue portent sur la production byzantine d'époque paléologue, mais, également, sur des textes plus anciens, qui ont été remis en circulation surtout à partir de 1261 ; certains aspects concernant les traductions de l'oeuvre aristotélicienne en latin, effectuées à partir de 1204

http://www.peeters-leuven.be/boekoverz…

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Τρί, 09/30/2008 - 02:19 Μόνιμος σύνδεσμος
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4 eme croisade

Le 12 avril 1204, Constantinople fut mise à sac par des chevaliers Occidentaux payés par des marchands vénitiens, qui se partagèrent les richesses de l'empire byzantin. C'était la fin de l'unité chrétienne entre Orient et Occident. L'empereur byzantin ayant été chassé de ses terres, les nobles et le clergé de Constantinople vinrent s'installer à Nicée en se désignant un empereur grec : Théodore Lascaris qui n'était autre que le gendre de l'empereur déchu, Alexis III. L'année suivante, son rival Baudouin Ier, l'empereur latin, est tué à Andrinople lors d'une bataille contre les troupes du tsar Kalojean. Quelques années plus tard, les Orthodoxes, faisant preuve de bonne volonté, soumettent un compromis au Pape Innocent III mais ce dernier repousse la réconciliation. S'ensuit alors une lutte sans merci entre Grecs et Latins.

http://www.youtube.com/watch?v=XBx8BDJd…

Le choc des civilisations
L'Empire latin d'Orient, en deux générations seulement, a approfondi et rendu irrémédiable la scission entre les Orientaux orthodoxes et les Occidentaux catholiques.

Avec la IVe croisade et l'avènement en Occident d'une relative prospérité, c'en est fini d'autre part de la ferveur et de la piété parfois brutales qui avaient animé les premières expéditions en Terre sainte, un siècle plus tôt. Les dernières possessions franques du Proche-Orient tombent finalement en 1291, deux siècles après l' appel du pape Urbain II à la croisade.

Mais la conquête de Constantinople par les croisés a d'autres conséquences, plus bénéfiques celles-là : elle encourage les érudits d'Occident à apprendre le grec ancien et leur permet d'approfondir auprès des savants byzantins leur connaissance de l'Antiquité, sans passer comme auparavant par les manuscrits en arabe des monastères espagnols.

Dès lors se renforcent les liens entre l'Orient héritier de la culture hellénistique de l'Antiquité et l'Occident, en premier lieu l'Italie. La Renaissance occidentale va germer sur les ruines du malheureux empire byzantin

http://www.herodote.net/histoire/evenem…

25 juillet 1261 : Constantinople se livre à l’Empereur byzantin Michel VIII Paléologue

http://www.aquadesign.be/calendrier/con…

Quelques livres fort interessant

Etudes Byzantines: L'Empire Byzantin et la Monarchie Franque,Amedee L Gasquet

http://books.google.com/books?id=9tnKI-…

Chronique de la conquête de Constantinople et de l'éstablissement des Français en Morée
de Jean Alexandre C. Buchon

http://books.google.com/books?id=8nMKAA…

Histoire de l'empire de Constantinople sous les empereurs français jusqu'a conquetes des turcs
de Charles Du Fresne Du Cange, Jean Alexandre C Buchon

http://books.google.com/books?id=a51qvg…

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Τρί, 09/30/2008 - 02:30 Μόνιμος σύνδεσμος
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Le Coran et l empire Byzantin

http://www.youtube.com/watch?v=xqLix6n7…

On trouve dans le Coran une étonnante prédiction dans les premiers versets de la sourate Ar-Rum (Les Romains), qui se réfère à l’Empire byzantin, partie orientale de l’Empire romain.

Les Byzantins [Romains] ont été vaincus, dans la contrée voisine, et après leur défaite ils seront les vainqueurs, dans quelques années. La décision finale, aussi bien avant qu’après, appartient à Dieu, qui accorde la victoire à qui Il veut, et ce jour-là les croyants se réjouiront. (Coran, 30/1-4)

Ces versets furent révélés vers l’an 620 de l’ère chrétienne, près de sept ans après la défaite cinglante infligée par les Perses aux chrétiens de Byzance en 613-14. En fait, Byzance avait alors subi de telles pertes qu’il semblait impossible qu’elle puisse même continuer à exister, et encore moins de connaître de nouveau la victoire. Après avoir défait les Byzantins à Antioche en 613, les Perses prirent le contrôle de Damas, de la Cilicie, de Tarse, de l’Arménie et de Jérusalem. La perte de Jérusalem en 614 était particulièrement traumatisante pour les Byzantins, car l’Eglise du Saint-Sépulcre fut détruite et les Perses s’emparèrent de la “Vraie Croix”, symbole de la Chrétienté.

En bref, tout le monde s’attendait à ce que l’Empire byzantin soit anéanti. C’est à ce moment-là que les premiers versets de la sourate ar-Rum ont été révélés, annonçant que Byzance triompherait à nouveau dans quelques années - le mot arabe bid’i veut dire un nombre de trois à neuf, moins de dix.

http://legecogita.wordpress.com/2007/03…

http://videos.tomsguide.com/video/iLyRO…

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Τρί, 09/30/2008 - 02:37 Μόνιμος σύνδεσμος
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L art byzantin

L'art byzantin prend la relève de l'art chrétien avec la chute de l'empire romain d'occident et disparaît avec la chute de l'empire byzantin vers 1463 (Prise de Constantinople par les Ottomans).
On y distingue 3 périodes :
De la mort de Théodose en 395 jusqu'à la fin de la crise iconoclaste (726-843). L'âge d'or se situant au 6° siècle sous le règne de Justinien
De 843 à 1261, avec la date critique de 1204 : prise de Byzance par les croisés
De 1261 à 1463 avec la dynastie des Paléologues (1224 à 1425

http://www.atthalin.fr/louvre/histoire_…

Quelques chants byzantins

Kyrie Eleison

http://www.youtube.com/watch?v=32K27tS4…

Doxologie

http://www.youtube.com/watch?v=5N8uWJgS…

Theophanie

http://www.youtube.com/watch?v=GZtcUfA6…

Theotokos

http://www.youtube.com/watch?v=50wGjSTl…

Psaumes

http://www.youtube.com/watch?v=w7X2lAnt…

http://www.youtube.com/watch?v=vEBFXCU4…

http://www.youtube.com/watch?v=z-9VMsC8…

Divna Ljubojevic,la voix d un ange qui vient de Serbie

Biographie

Son chant est precis et pur, sa voix claire, limpide, on dirait meme divine. Pour elle chanter est naturel.

Depuis sa plus tendre enfance a Belgrade, Divna Ljubojevic entonne les cantiques lors des offices religieux.

Sa voix est un don et son chant une offrande.

Comme engagement de sa foi, elle a fait v?u de chanter le sacre.

Depuis, sans relache, elle travaille pour atteindre la purete, la perfection.

A 18 ans, elle dirige le choeur de son ecole puis chose inedite pour une femme, elle prend la tete de la premiere societe chorale de Belgrade.

En 1991, elle fonde le choeur et le studio de Musique Sacree Melodi.

Depuis les plus anciennes pieces monodiques ou polyphoniques byzantines, serbes, bulgares et russes, jusqu’a des pieces contemporaines, Divna s’attache a recreer un style d’interpretation qui s’etait eteint au 19eme siecle, avec l’arrivee des chants russes dans les eglises de Belgrade.

Au festival « Spiritual Music », son ensemble, compose de neuf chanteurs et chanteuses est particulierement remarque et proclame meilleure chorale de musique sacree. C’est elle qui arrange les morceaux de Melodi, elle compose des musiques de film pour instruments et pour voix feminines.

Divna Ljubojevic transmet la musique sacree traditionnelle dans son etat naturel.

Malgre, la reconnaissance mondiale et le travail que cela suppose, Divna chante pourtant chaque dimanche, accompagnee de son ensemble a la cathedrale orthodoxe de Belgrade.

Un sacerdoce en somme, une vie.

Elle a vraiment une voix cristalline a ecouter meme si on n aime pas les chants religieux,ici on a a faire a une voix sublime

Orthodox Music d Voice of an Angel d - Manastir Ravanica

http://www.youtube.com/watch?v=PEHJY0T9…

Orthodox Music, Divna Ljubojevic - d Hristos Anesti d

http://www.youtube.com/watch?v=Y7tKexc4…

Agni Partene

http://www.youtube.com/watch?v=sQs0MUuJ…

Defte Lai

http://www.youtube.com/watch?v=EcpUnZ_g…

L'architecture byzantine en France

http://books.google.gr/books?id=HkwAAAA…

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Τρί, 09/30/2008 - 02:45 Μόνιμος σύνδεσμος
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alex

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Venise

Vers 560-575 - Invasion des Lombards - Les Vénètes assurent de leur fidélité l’Empereur de Byzance.

602 - Destruction de la ville de Padoue.

697 - Premier Doge, Paoluccio Anafesto, représentant le pouvoir de Byzance, élu par l’assemblée du peuple. Début du régime électif du Doge, sous l’autorité de Byzance.

726 - « La capitale» de la Vénétie est déplacée de Cittanova à Malamocco, puis à Rivo Alto (futur Rialto).

807-809 - Bataille entre Francs et Byzantins dans la lagune.

810 - Création de Venise sous le Doge Angelo Partecipazio. Attaque des Francs.

812 - Traité d’Aix la Chapelle. Le roi des Francs, Charlemagne laisse Venise sous la domination de Byzance.814 - Au traité d’Aix la Chapelle, reonnaissance par les Francs et par l’Empire de Byzance, de la Civitas Rivoalti qui assure l’autonomie de Venise.

le site a ne pas manque qui parle de tout

http://www.vivre-venise.com/histoire-de…

Influences Byzantines sur la peinture venitienne du XIVe siecle

La grande Renaissance des arts qui voit le jour dans les centres italiens à l'aube du trecento n'a pas atteint Venise dès sa genèse. Durant tout le XlVe siècle, les influences byzantines demeurent décisives pour les créations artistiques vénitiennes. Ce phénomène peut s'expliquer par la politique de la Sérénissime: au XlVe siècle, elle insistait sur ces formes artistiques, qui mettaient en valeur l'originalité de sa situation politique et économique.

http://www.myriobiblos.gr/texts/french/…

Erotocritos et la Renaissance crétoise
La Renaissance crétoise
La Crète fut sous la domination vénitienne à partir de 1211 jusqu’à sa conquête par les Ottomans en 1669. Dans les classes dirigeantes, où la noblesse d’origine vénitienne côtoie la noblesse locale et parfois s’hellénise, se développe une culture humaniste et l’on peut parler à juste titre d’une "Renaissance crétoise" fondée sur des échanges féconds entre Orient et Occident, alors que le reste du monde byzantin est déjà sous domination ottomane.

A Candie, nom que portait alors la capitale Héraklion, la vie culturelle était animée. Des poèmes, inspirés de thèmes occidentaux, sont écrits en grec, et le vers de quinze syllabes rimé devient l’archétype de la création insulaire. Le théâtre se développe : comédies, tragédies, pastorales, drames religieux…

Érotocritos
Mais l’œuvre la plus célèbre de cette Renaissance crétoise est sans conteste Érotocritos, signé par Vitzentos Cornaros.

L'auteur
On pense actuellement que ce dernier appartenait à une famille vénitienne hellénisée, naquit en Crète en 1553 et mourut entre 1613 ou 1617. Il a probablement fréquenté une école italienne, car on possède des textes de sa main écrits en langue grecque mais en alphabet latin. Il aurait composé Érotocritos entre 1595 et 1605, et on lui attribue également un drame religieux, le Sacrifice d’Abraham.

L'oeuvre
Érotocritos, roman épique de plus de dix mille vers, relate les amours du héros éponyme, littéralement "le torturé d’amour" et de la belle Aretoussa, fille du roi d'Athènes, dont il obtiendra la main au prix de mille difficultés. L’œuvre a pour source un roman français médiéval, Pâris et Vienne (1432) de Pierre de la Cypède, mais on y trouve les échos du roman antique comme du roman chevaleresque byzantin. Cornaros a su créer un monde totalement extra-temporel mêlant les références à l’Antiquité et à Byzance comme au Moyen-âge occidental et à la Crète de la Renaissance. Tout en réduisant au minimum l’intervention du merveilleux, le poème célèbre la toute-puissance de l’amour dans un idiome crétois qui n’est ni langue savante, ni langue populaire. Il connaîtra vite un large succès, notamment chez tous les Crétois qui ont dû s’exiler après 1669, par exemple dans les îles Ioniennes. Le texte est imprimé en 1713 par un éditeur vénitien pour le public hellénophone. Longtemps méprisé par les intellectuels grecs partisans de la "langue pure", Érotocritos est depuis la fin du XIXe siècle considéré comme un chef-d’œuvre de la littérature hellénique. Beaucoup de Crétois en connaissent des passages entiers par coeur.

http://www.bourgogne-mediterranee.asso…

Mais Venise est friande de sculpture vole au port du Piree

Comme son embleme le Lion

http://www.e-venise.com/sculpture_venis…

Et les fameux chevaux de la cathedralle de Saint Marc qui etaient a l Hippodrome de constantinople

Les chevaux de Saint-Marc sont quatre statues antiques de chevaux de cuivre coulé, faisant partie d'un quadrige qui ornait autrefois l'Hippodrome de Constantinople. Les Vénitiens les enlevèrent en 1204 et les placèrent sur une galerie, au-dessus de la porte principale de la basilique Saint-Marc de Venise.

[img]http://upload.wikimedia.org/wikipedia/c…]

celle qui sont presente sont des repliques,les quatres chevaux byzantin se trouvent a l interieur de la Cathedrale ,je l ai est vu ,c est etonnant de voir des chevaux dans une cathedralle meme sculpte

En 1797, Napoléon Bonaparte, alors général en chef de l’armée d’Italie du Directoire, prend Venise durant la première Campagne d'Italie (1796-1797) et emporte les chevaux. Devenu empereur, il les fait installer sur les grilles des Tuileries, puis sur l'Arc de Triomphe du Carrousel, édifié à Paris en hommage à la Grande Armée, entre 1807 et 1809[2].

Quadrige de l'Arc de Triomphe du Carrousel à Paris, copies du XIXe siècleEn 1815, après la bataille de Waterloo et la chute de Napoléon, les chevaux sont rendus à Venise par les Autrichiens Ils sont alors remplacés sur l'Arc de Triomphe du Carrousel par des copies. Les originaux regagnent la façade de la basilique Saint-Marc.

Dans les années 1980, les chevaux originaux ont été placés dans le musée de la Basilique et remplacés par des répliques pour les préserver de la pollution atmosphérique. Déjà ternies au bout de vingt ans, les répliques ont dû être nettoyées et restaurées en 2006.

C est Napoleon qui donna le coup mortel a Venise,Venise devint province autichienne,quel triste fin sans gloire qui fut aussi l independance de la republique des sept iles ioniennes,le premier etat grec moderne,la boucle fut boucle entre les grecs et venise

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Τρί, 09/30/2008 - 03:25 Μόνιμος σύνδεσμος
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L histoire de l or

Au IVième siècle ap JC L’empire byzantin était célèbre dans toute l’Europe dans le domaine de l’or car leurs orfèvres étaient des maîtres en la matière, ils étaient fort recherchés notamment par les Italiens amateurs de bijoux, il s’agissait des artistes les mieux reconnus au haut moyen age. Les Italien on fait appel à eux pour les mosaïques de l’église San Vitale à Ravenne et ceux du portail de la basilique Saint Marc à Venise.

Au Vième et VIIième siècle les byzantins ne pouvait pas toujours lutter contre tous leurs agresseurs, étant donné que l’empire Byzantin était riche ils se mirent à donner régulièrement de grandes quantités d’or à leurs ennemis et à leurs alliés pour arrêter les attaques et obtenir des protections. Tout cet or venait surtout de Nubie jusqu’au VIIième siècle quand les Arabes conquirent la Nubie.

L’empereur byzantin Constantin ne voulait pas que les pièces d’or de l’empire nommées le besant soient frappées d’une autre effigie, prétextant que cette monnaie est reconnu et admiré à travers le monde entier. Constantin II rentra en guerre contre les arabes pour cette raison, bien que les musulmans vaincurent ces derniers changèrent l’effigie du Calife pour des citations du Coran. Justinien II fut le premier à faire frapper des pièces représentant du Chris ce qui déclancha en partie une période de dévotion aux icône. Les cultes autour de l’iconoclasme furent combattus avec force par l’église

Au XIIième siècle en Europe la pénurie d'or apparu à cause des conquêtes, toutefois les croisades notamment à Constantinople, ramenèrent de l'or en Europe "grâce" au pillage.

Allez lire ce site ,il vaut la peine surtout concernant la peste noire et les legues fait a cette epoque au pape ,c est a ce moment que le Vatican devint riche ,riche en or

http://www.achat-or.biz/histoire-or.php

Et par les temps qui courre avc la crise bancaire mondiale ,c est un site aussi qui parle de devis en or,interessant ahhahah

Monnaie byzantines

La monnaie à travers l'Histoire : Rome et Byzance.

Dans la moitié occidentale de l'empire, les ateliers de frappe tombèrent aux mains des barbares et le monnayage du bronze s'effondra complétement. En Orient, Byzance conserva le solidus ou sou d'or qui, fidèle à son nom de monnaie solide, garda un poids et un aloi inaltéré jusqu'au XIe siècle. Il était utilisé pour le commerce extérieur et joua un rôle important dans le commerce international. A partir du IXe siècle, le "besant" comme on l'appellait en Occident, fut pratiquement la seule pièce d'or de la Chrétienté.

L'image du Christ apparut au revers du sou d'or lors du règne de Justinien II (685-695) et celui de la Vierge Marie après la mort de Léon VI (886-912)

http://users.skynet.be/sky03271/pag07b…

Un livre a lire ou a downloader en PDF

Description generale des monnaies byzantines frapees sous les empereurs d orient

http://books.google.gr/books?id=guoeAAA…

il y a plusieurs pages avec les photos des monnaies byzantines

http://books.google.gr/books?id=guoeAAA…

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Τρί, 09/30/2008 - 03:32 Μόνιμος σύνδεσμος
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Trébizonde, l'empire grec oublié

Chassé de Constantinople par les croisés en 1204, Alexis, un prince de la dynastie des Comnènes, se réfugie sur la rive méridionale de la mer Noire. Plaque tournante du commerce avec l'Orient, le "royaume" connaîtra la prospérité pendant plus de deux siècles.

Par Pascal Dayez-Burgeon *

Ala fin avril 1204, Alexis, un prince byzantin de 22 ans, doit fuir Constantinople, mise à sac par les croisés. Il débarque à Trébizonde, au fin fond de la mer Noire, à la tête d'une flottille géorgienne. Sans coup férir, il s'empare du port, de la ville et de sa citadelle, et se fait proclamer empereur sous le nom d'Alexis Ier Grand Comnène.

Ce coup de force aux confins d'un monde byzantin en ruines aurait pu demeurer le soubresaut sans lendemain d'un âge fertile en rebondissements. Il n'en est rien. L'empire grec de Trébizonde perdurera deux siècles et demi, en dépit des tourmentes qui déferlent sur ce carrefour de l'Anatolie, du Caucase et de la Mésopotamie. Il continuera même d'y avoir des empereurs à Trébizonde alors que Byzance sera tombée aux mains des Ottomans en mai 1453. C'est en effet seulement en 1461 qu'ils devront à leur tour se soumettre au sultan Mehmet II le Conquérant.

L'étonnante longévité de cette enclave grecque et chrétienne en terre d'islam n'échappe pas à l'Occident. Trébizonde inspire les esprits chevaleresques du Moyen Age finissant. Théodora Comnène, la dernière princesse, mariée au khan de la horde du Mouton blanc (une fédération de tribus nomades turkmènes), devient à la fin du XVe siècle l'archétype de la dame en danger à sauver des griffes de l'infidèle.

Puis, avec le temps, l'empire de Trébizonde s'estompe dans les mémoires jusqu'à en disparaître entièrement. Les guides touristiques, lorsqu'il leur arrive de mentionner Trapzon, comme on la nomme aujourd'hui, évoquent un port industriel un peu engourdi du Nord-Est turc et dont le principal titre de gloire tient aux exploits récents de l'équipe de football locale.

L'empire de Trébizonde n'est pas le fruit du hasard. Lorsqu'il s'empare de sa nouvelle capitale, Alexis bénéficie d'une double légitimité. C'est d'abord un prince grec : alors que Constantinople vient d'être enlevée par les croisés, Alexis fait figure de résistant, de continuateur de Byzance. Il n'est pas le seul, mais il a pour lui son origine prestigieuse. Alexis descend en effet de la dynastie des Comnènes qui a régné sur Byzance de 1081 à 1185 et lui a donné son dernier lustre. Toutes les grandes familles byzantines prétendent leur être apparentées, mais Alexis, lui, en est l'héritier direct par les mâles. D'où ce titre de Grand Comnène qu'il s'attribue, et que reprennent ses descendants.

En outre, Alexis a des attaches locales. Avant de s'établir à Constantinople, les Comnènes auraient été de petits nobles ayant des possessions à Kastamouni en Chaldie, au sud-ouest de Trébizonde. Sans qu'on sache exactement comment (par sa grand-mère paternelle ?), Alexis serait également apparenté à la dynastie géorgienne des Bagratides, notamment à la fameuse reine Thamar (1184-1212), qui a mis à sa disposition les troupes nécessaires pour conquérir Trébizonde.

Quant à la cité elle-même, elle bénéficie depuis longtemps sinon de l'indépendance, du moins d'une autonomie de fait. Colonie grecque fondée sans doute au VIIIe siècle avant notre ère, Trébizonde s'est toujours inclinée devant les grandes puissances mais a su profiter de leur décadence pour se redresser. Annexée par les Perses au VIe siècle av. J.-C., elle devient une des principales villes du royaume du Pont, ce nouvel Etat d'Asie Mineure que les Mithridate se taillent au IVe siècle avant notre ère. A nouveau englobée dans l'Empire romain auquel succède Byzance, elle devient une des clés du système de défense oriental destiné à contenir les Perses, les Arabes et les peuples caucasiens. Mais l'installation progressive des Turcs en Anatolie et en Paphlagonie (autour de la ville de Sinope) à partir de la défaite byzantine de Mantzikert, en août 1071, rompt les liens envers une Constantinople déclinante. Aussi, lorsque la capitale de l'Empire byzantin tombe en 1204, la situation est mûre pour que cette autonomie de fait de Trébizonde se mue en indépendance. Une indépendance que les vingt et un successeurs d'Alexis sauront préserver dix générations durant.

Le principal atout de Trébizonde est sa situation. Aux confins orientaux de la mer Noire, la ville contrôle la passe du Zigana, seule voie praticable été comme hiver pour traverser la chaîne pontique et rejoindre la Mésopotamie au sud, la mer Caspienne et l'Asie centrale à l'est. Dernier comptoir chrétien sur la route de la Soie, Trébizonde constitue l'escale ultime, le point de rupture de charge obligatoire pour tout commerce avec l'Orient.

Tissus précieux, denrées rares, parfums, épices, orfèvrerie raffinée : tout passe par cette cité et tout y est systématiquement taxé, pour le plus grand profit du trésor impérial, des marchands et des courtiers locaux. Cette intarissable source de richesses fascine les contemporains. En 1253, lors de la septième croisade, Jean de Joinville par exemple, le grand chroniqueur, assiste à l'audience que Saint Louis, en résidence à Sidon, accorde aux envoyés de Manuel Ier. Il en rapporte surtout que le seigneur de Trébizonde passe pour fabuleusement riche.

L'empire suscite donc nombre de convoitises, à commencer par celles de Gênes et de Venise qui s'efforcent de contrôler le commerce en Méditerranée. Mais plus d'une fois, c'est à cette richesse que Trébizonde doit sa survie en payant tribut aux puissances menaçantes, en corrompant les chefs de guerre pour lever un siège ou en recrutant des mercenaires pour assurer sa défense. A telle enseigne que les puissants de l'époque - Tamerlan par exemple, qui y fait escale en 1402 - considèrent davantage Trébizonde comme un comptoir, une banque, une sorte de Monaco pontique, que comme un véritable Etat.

Avancée byzantine aux frontières de l'Asie profonde, l'empire grec de Trébizonde, tout indépendant qu'il soit, peut à juste titre passer pour une sorte de réplique provinciale et miniature de l'Empire byzantin. Comme à Constantinople, tout converge vers l'empereur. Sur l'acropole rocheuse dont la ville tire son nom ( trapeza en grec signifie table, plate-forme) domine le palais impérial. Ses ruines permettent aujourd'hui encore d'en imaginer la magnificence, unanimement louée par les contemporains. Il constitue le coeur de la cité. A ses pieds s'étendent la vieille ville (ses hôtels aristocratiques et le dôme doré de la basilique métropolitaine), puis la ville basse (port et entrepôts), toutes deux défendues par une puissante muraille, enfin les banlieues avec leurs commerces, leurs ateliers et leurs jardins étagés.

Même s'ils ne règnent que sur leur capitale et son arrière-pays, les Grands Comnènes se parent du titre de « basileus » qui leur donne le pouvoir absolu, portent la couronne impériale et s'entourent de hauts dignitaires aux titres pompeux : grand logothète, protovestiaire, mégaduc. En s'emparant de Trébizonde, Alexis Ier a en effet convié un grand nombre de fonctionnaires byzantins à le rejoindre. Ils feront souche en formant un patriciat urbain en conflit permanent avec les grands propriétaires fonciers et les « seigneurs des vallées » de l'arrière-pays.

Comme à Byzance, les chroniques impériales regorgent de complots compliqués et de drames sanglants. Ainsi pour s'emparer du pouvoir, les Grands Comnènes sont prêts à tout. Manuel Ier fait enfermer son neveu dans un monastère (1238), Andronic III fait assassiner ses frères (1330) ; Basile Ier, son neveu Manuel II (1332) ; Jean IV, son propre père, Alexis IV (1429).

Cousine de Byzance, Trébizonde n'en atteste pas moins d'une indéniable originalité. L'empire est un carrefour, un creuset. Aux influences grecques se mêlent, bien plus qu'à Byzance, les apports caucasiens, perses, voire turcs. Le voisin géorgien est très présent à la cour, où les alliances dynastiques avec les Bagratides sont fréquentes, comme dans les quartiers marchands de la banlieue ou dans les milieux artistiques. L'admirable basilique Sainte-Sophie-Hors-les-Murs, récemment restaurée, doit beaucoup à cette influence géorgienne. Bien souvent, ce sont des clercs de Trébizonde qui découvrent, traduisent, commentent les traités de mathématiques et d'astronomie venus de Perse ou d'Extrême-Orient.

A force d'alliances matrimoniales, à la cour et dans les palais, on parle aussi bien le turc et le persan que le grec. L'exemple le plus typique en est Georges Amiroutzès. Grand dignitaire sous les derniers Comnènes, il est apparenté au généralissime de l'armée de Mehmet II et négocie à ce titre la reddition de l'empire. Etant parvenu à gagner les bonnes grâces du sultan pour qui il traduit les traités de géographie de Ptolémée, il finit en dignitaire ottoman.

L'originalité trapézontine touche aussi la religion. La foi est vive à Trébizonde, couverte d'églises, aujourd'hui transformées en mosquées. Un des centres en est l'étonnant monastère rupestre de Souméla, littéralement suspendu à flanc de montagne, à plusieurs centaines de mètres d'altitude. Les orthodoxes se rappellent également que saint Athanase, le fondateur de la cité monastique du mont Athos, était originaire de Trébizonde. Pour autant, à la cour comme à la ville, tout en se passionnant pour les questions de dogme, on fait volontiers montre de tolérance. Le cardinal Bessarion (1403-1472) en est l'exemple le plus frappant. Prêtre, philosophe, mathématicien, diplomate, Bessarion est un des plus brillants esprits de son temps. Conseiller du basileus Jean VIII de Byzance au concile de Florence (1439), il y plaide sans relâche en faveur de la réconciliation des Eglises catholique et orthodoxe. Réfugié en Italie où il est fait cardinal et manque même d'être élu pape, il réunit une inestimable collection de manuscrits grecs et perses qu'il lègue à sa mort à la bibliothèque Marciana de Venise. Cette curiosité d'esprit, cette tolérance, cet humanisme avant la lettre, c'est à sa ville natale qu'il les dédie, dans un Eloge de Trébizonde composé au soir de sa vie, alors que l'empire n'existe plus.

Si la chute de Constantinople constitue pour l'Occident un traumatisme affectif et symbolique, celle de Trébizonde, trop lointaine, trop méconnue, trop inéluctable, n'a guère d'impact. Au lieu de défendre son trône jusqu'à la mort comme Constantin XI de Byzance, David Comnène a préféré traiter avec Mehmet II par l'intermédiaire du subtil Amiroutzès. Contre la remise des clés de la ville, il est autorisé à quitter sa capitale avec sa cour et son trésor pour s'établir près d'Andrinople, aujourd'hui Edirne. Les esprits chevaleresques n'y trouvent pas leur compte, même si deux ans plus tard, sous le prétexte d'un complot, le même Mehmet fait emprisonner David et ses fils dans la sinistre forteresse des Sept Tours de Constantinople, avant de les faire exécuter. L'histoire de Trébizonde s'achève ainsi sans gloire et entre dans l'oubli.

Dans l'oubli, mais aussi dans la légende : l'empire de Trébizonde se mue petit à petit en fable, détachée de toute réalité. Dans le Quart Livre par exemple (1548), Rabelais fait allusion aux « escholiers de Trébizonde » comme nous parlerions des habitants de la Lune ou de la planète Mars. En 1640, l'écrivain génois Jean-Ambroise Marini publie Coloandro, un roman qui obtient un tel succès qu'il est constamment réédité pendant un demi-siècle et même traduit en français. Fort probablement inspiré par les rapports de Caterino Zéno, ambassadeur de Gênes à Trébizonde puis à Tabriz auprès d'Uzun Hasan, il n'évoque en fait qu'une Trébizonde de légende.

Par la suite, les références à Trébizonde chez les poètes et les romanciers européens doivent surtout à Marini. Un des derniers en date est Offenbach qui, en 1868, compose une Princesse de Trébizonde pour renouer avec son succès de l'année précédente, La Grande-Duchesse de Gérolstein . Seule l'aura légendaire compte puisque la princesse en question n'y est plus qu'un mannequin d'étalage destiné à faire rêver les petites mains romantiques en quête d'amour et d'exotisme.

C'est au mythe de ses princesses à la réputation de noblesse et de beauté que le nom de Trébizonde reste principalement lié. A l'origine comme à sa chute, Trébizonde mêle son destin à celui de deux glorieuses figures, Thamar de Géorgie et Théodora Comnène, surnommée Despina Hatun, surnom gréco-turc qui signifie « princesse des princesses ».

Plusieurs princesses Comnène vont d'ailleurs occuper le trône : Théodora, fille de Manuel Ier, qui renverse pendant quelques mois son frère Jean II (1282), ou encore Irène et Anne en 1341. Manifestement, le pouvoir n'est pas réservé aux hommes. Certaines légendes turques rapportent que ces Médées médiévales dissimulaient des queues fourchues sous leurs atours d'apparat.

Une autre légende, plus connue, concerne saint Georges. D'après certaines sources, c'est à Trébizonde que le pieux chevalier aurait terrassé le dragon. Et pour peindre la princesse délivrée par saint Georges, Pisanello, l'auteur des fresques de Sainte-Anastasie de Vérone, se serait inspiré de l'extraordinaire beauté de Marie de Trébizonde, épouse du basileus Jean VIII, invité au concile de Florence (1439). Depuis, la princesse de Cyrène de Pisanello est devenue la princesse de Trébizonde. La chute de l'empire et la tentative de restauration de Théodora Comnène auraient confirmé l'assimilation. En écho au dragon de la Toison d'or ou aux prétendues queues fourchues des princesses Comnène, Trébizonde entre ainsi de plain-pied dans la légende.

Si vous vous rendez aujourd'hui sur la place du Taksim, située à l'est de la ville, à l'emplacement du forum qui attirait au temps de l'empire tous les marchands de passage à Trébizonde, les commerçants chercheront à tout prix à vous vendre leur dernière récolte de noisettes - ces noisettes produites en abondance dans les vallées et que les basileus avaient coutume d'offrir pour solder leur interminable contentieux commercial avec Gênes. Preuve que Trébizonde n'est pas morte.

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* Pascal Dayez-Burgeon est actuellement conseiller culturel à l'ambassade de France à Séoul
http://nauka.bg/forum/index.php?showtop…

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Τρί, 09/30/2008 - 03:37 Μόνιμος σύνδεσμος
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alex

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les Dynasties byzantines

Site en Anglais

http://www.roman-emperors.org/lindexxx…

Ou sur le :Monde byzantin sur wikipedia

http://fr.wikipedia.org/wiki/Portail:Mo…

Ont ils des descendants a notre epoque ??

Les descendants des Comnenes ????,des ordres de chevalier ahahahah

Il y a des arisocrates aujourd hui en Europe qui se present descendant de la Dynastie des Comnenes,les Lascaris Comnenes

Allez voir ce site,l exarchat de Belgique,il se prenne tres au serieux les aristos ahahahah

Ordre souverain et imperial de Constantin le Grand et Sainte helene

Souverain et imperial !!!,qu est ce que je me suis marre,ces aristos redondance sur redondance pour faire les beaux

http://www.ordre-de-constantin-le-grand…

http://www.ordre-de-constantin-le-grand…

Les Lascaris comnenes et l eglise grecque orthodoxe

http://www.ordre-de-constantin-le-grand…

Le Prince Ioannis Arkadios Lascaris Comnene coupe le ruban lors de l'inauguration de la bibliotheque a Athenes portant son nom

http://www.ordre-de-constantin-le-grand…

Les Aieux

http://www.ordre-de-constantin-le-grand…

Le Grand Maitre de l Ordre actuel,un gamin ahahaha

http://www.ordre-de-constantin-le-grand…

Il y a un autre ordre

Ordre Impérial de Saint Eugène de Trébizonde en core en Belgique decidement

Sous la Grande Maîtrise de S.A.I.R. Juan Arcadius Lascaris Comnène

Il rigole pas,ils ont meme l arbre genealogique en directe ligne ??

avoir sur ce site

http://www.new-byzantium.org/houseof.ht…

Jusque la tout va bien mais sur le site new-byzantium.org

Ca delire a mort ahahahah avec Christophe Colomb,l Amerique la nouvelle Byzance,leur conexion avec les chevalier de Malte,ouai ca existe encore ,au moin sur le papier ahahah

Ca va plaire a Philippe ahahahah

http://www.new-byzantium.org/table.html

Mais qu est ce qui se passe en Belgique,c est surement du au probleme communautaire,on adore la royaute car la citoyennete belge ,c est plus qu un souvenir vu les dernieres secousses flamingandes

Mais on a des pretendants a la pelle pour le trône de Grece ,les Glücksburg avec COCO et ses fils de la grande ligne de la maison d'Oldenbourg qui regne encore au Danemark et en Norvege et regnera au Royaume uni apres la fin regne d Élisabeth II ,les Windsor ne sont pas des Windsor,il durent changer leur nom de Saxe-Cobourg-Gotha trop allemand en 1917 pendant la deuxieme guerre mondialle

Tout futur monarque pourrait changer le nom de la dynastie s'il le souhaite. Un autre décret en conseil annulerait ceux de George V et d'Élizabeth II.

Par exemple, si le prince de Galles accède au trône, il pourrait changer le nom de la maison royale en « Mountbatten » en l'honneur de son père, et de son oncle Louis Mountbatten ou bien en Oldenbourg puisque les Mountabatten font parti de cette maison.

Le prince Philippe, duc d'Édimbourg le mari d Elisabeth II est lui devenu Mountbatten en prenant le nom de famille de sa mere ???

Il est le cinquième enfant et fils unique du prince André de Grèce et du Danemark et de la princesse Alice de Battenberg.

Ces titres respectifs furent

Son Altesse royale le prince Phílippos tis Elládas (1921–1947)

Je rigole pas

Philip Mountbatten (1947–1947)

Son Altesse royale le duc d'Édimbourg (1947–1957)

Son Altesse royale le prince Philip, duc d'Édimbourg (depuis 1957)

Il est revenue a l orthodoxie,ces dix dernieres annees apres sa renonciation ala foi chretienne orthodoxe en se mariant avec la chef de l eglise anglicane qu est la reine d Angletterre

Mais son fils ,le prince Charles a aussi le virus de l Orthodoxie

Lui et son pere sont chaques annees en croisiere en Grece avec ses fils ,le Mont Athos les connais bien,c est des habitues

http://stmaterne.blogspot.com/2006/04/i…

Toutes ses tetes couronnes europeennes sont tous des cousins en Belgique ,Albert II est aussi un Saxe-Cobourg-Gotha comme les Mountbatten

Allez j arrete avec les aristos,ils se prennent trop au serieux,faudra qu on leur dise qu on et republicains hahahah

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Τρί, 09/30/2008 - 03:42 Μόνιμος σύνδεσμος
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alex

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Les relations de Byzance et Venise au XIème siècle

Le Chrysobulle de 1084

Le Chrysobulle de 1084 mit les Vénitiens hors de portée de leurs concurrents car ils leurs permit de contourner les lois et les codes juridiques byzantins.

En effet, Alexis Ier donna des titres honorifiques, des récompenses et des rentes, mais surtout il accorda aux vénitiens des bâtiments dans Byzance. Ces installations ne devaient pas trop changer des Mitata, à la différence près que les marchands n'avaient plus besoin de payer pour y séjourner. L'Empereur n'innovait pas dans l'officialisation de la permanence d'étrangers dans la ville, car il existait déjà d'autres quartiers de commerçants en dehors des murs. C'est au niveau de l'emplacement de ces bâtiments que résidait l'originalité de l'acte impérial, puisqu'ils se trouvaient à l'intérieur des murs.
En leur donnant une certaine liberté de circulation, l'Empire tentait d'intégrer les Vénitiens et leurs richesses dans les siennes.

Mais l'acquisition la plus importante pour Venise fut cette liste interminable de ports impériaux cité à la fin du document. L'Empire lui permettait par cette simple liste, de commercer dans des zones jusqu'alors réservées aux Byzantins. Elle se voyait ainsi exempte de taxes, et en situation de monopole sur certaines marchandises.

Seule la Mer Noire lui était interdite. Néanmoins les ports de la Mer Noire restaient des zones de transit majeurs dans les échanges commerciaux entre l'Asie et l'Occident. Et cela, malgré le travail de détournement des routes commerciales par les Vénitiens (vers les villes où ils étaient présents).

http://www.citadelle.org/magazine.cfm?m…

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Τρί, 09/30/2008 - 03:53 Μόνιμος σύνδεσμος