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Bataille «décisive» de la Grèce pour le retour des frises du Parthénon

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Bataille «décisive» de la Grèce pour le retour des frises du Parthénon

Édition du vendredi 30 mars 2007

Athènes -- Le premier ministre grec Costas Caramanlis a annoncé hier vouloir mener une bataille «décisive» pour le retour en Grèce des frises du Parthénon, détenues par Londres, lors d'une cérémonie saluant le retour de quatre chefs-d'oeuvre antiques rendus par le musée américain Getty.

Le rapatriement de ces quatre pièces ainsi que l'achèvement, prévu en 2008, d'un nouveau musée de l'Acropole garantissant «toutes les conditions pour la sauvegarde des sculptures» ouvrent la voie à une bataille «décisive» pour le retour des frises du Parthénon, a déclaré M. Caramanlis.

Cela «réduit à zéro les justifications dénuées de fondement avancées pour le non-retour» des pièces emportées à Londres au début du XIXe siècle par un ambassadeur britannique, lord Elgin, et réclamées en vain depuis 1981 par la Grèce auprès du British Museum.

Outre le dossier des frises, la Grèce a récemment fait de la revendication à l'étranger de toute antiquité volée et exportée illégalement «une question de toute première priorité», a rappelé M. Caramanlis.

Il présentait au musée archéologique d'Athènes les pièces rendues par Getty: une couronne funéraire hellénistique en or et un torse féminin archaïque, rendus le 23 mars dernier, ainsi qu'une stèle funéraire gravée du IVe siècle avant J.-C. et un bas-relief votif archaïque, tous deux restitués en août dernier.

Ces restitutions ouvrent la voie à la revendication par la Grèce de toutes les pièces «dont nous pouvons prouver qu'elles ont été prises et exportées illégalement», a souligné le ministre de la Culture, Georges Voulgarakis.

Selon la presse, le ministère envisage de réclamer ainsi près d'une centaine d'oeuvres, antiques et byzantines, notamment détenues par des musées ou des fondations des États-Unis et de la Suisse.

Venant du site

http://www.ledevoir.com/2007/03/30/1375…

Ca y est la Grece est entrain d utiliser sa force de persuasion dans la politique etrangere pour le retour en Grece de patrimoine voler a som insus et cela depuis des decades ,une force qui est une nouvelle donne sur le plan diplomatique mondiale ,un travail a long terme depuis une decennie qui porte de plus en plus de succes dans tout les domaines internationaux et diplomatiques

C est ca qui a changer ces derniers dix ans, la Grece depuis la crise d Ocalan et d Imia a changer de cap de la politique diplomatique des affaires etrangeres et a renforcer sa place dans le milieu diplomatique mondiale ou aujourd hui sa parole est ecouter et respecter

Il est fini ,le temps ou le monde occidental voyait la Grece de haut,maintenant,il se voit obliger d obtemperer et de respecter le droit de la grece d avoir son du dans les affaires et diplomaties internationale car elle est un partenaire qui compte de plus en plus dans ce monde ou les alliances politiques sont de plus en plus cruciale et salvatrice pour la paix mondiale

A+

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Philippe

C'est vrai que la Grèce est de plus en plus influente diplomatiquement.

Je prendrais pour exemple flagrant le fait que la Grèce, refusant le nom de Macédoine a Skopje, pas un seul pays excepté les USA n'ose reconnaitre le nom controversé, et ce depuis plus de 10 ans. Nous n'avons rien a craindre de nos voisins qui sont a des années-lumières de développement par rapport a nous.

Quand aux antiquités, le droit moral appartenant a la Grèce, je pense cette situation trouvera rapidement une issue pour peu que la Grèce prenne une position ferme.

Il faut cesser de dire que la Grèce est un "petit pays" pauvre et sans influence. C'est complètement faux dans le fond et la forme. Certains devraient oser regarder l'avenir avec un peu de confiance.

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Κυρ, 04/01/2007 - 19:15 Μόνιμος σύνδεσμος