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Mathieu Aref le retour

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Mes chers amis ce sujet est pour ceux qui veulent savoir un peu plus sur le delire d un pauvre vieux monsieur

C est long mais ca vaut la peine d etre lu et de voir jusqu ou peut falsifie l histoire un illumine

Mathieu Aref

Posté le: 05 Déc 2006 13:02 Sujet du message: Re: Dhou al -Qarnaïn = Celui qui a deux cornes

Bonjour,
Le nom d'Alexandre le Grand est cité plusieurs fois dans le Coran sous le nom de : "Al Iskandar Dhou Al Karnaïn" ce qui signifie "Alexandre aux deux cornes". Cette allusion aux deux cornes est facile à expliquer quand on connait parfaitement les origines d'Alexandre, les origines des Grecs, la Mythologie dite grecque et l'histoire préhellénique. En effet Alexandre n'est pas grec mais macédonien par son père Philippe II de Macédoine et Epirote par sa mère Olympias. Macédoniens et Epirotes (selon TOUS les auteurs antiques) etaient des peuples barbares (ce qui signifiait à l'époque "ne parlant pas la langue grecque). Pour correspondre avec le monde grec de l'époque les dynastes macédoniens étaient obligés d'apprendre le grec. C'est pourquoi Philippe II engagea Aristote comme précepteur de son fils. Donc ces dynastes étaient hélenophones et non des Grecs. Revenons "aux deux cornes". La mythologie, dite grecque, était en réalité d'origine pélasgique : détail confirmé par Homère qui qualifiait les Pélasges de "divins" et de Dodonéens (Dodone était la capitale cultuelle des Pélasges et qualifiait ZEUS de "pélasgique". Hecatée de Milet, Hellanicops de Mytilène, Thucydide et d'autres non moins célèbres affirmaient que les Pélasges, avant l'arrivée des Grecs possédaient le pays qui "allait devenir la Grèce". Selon la légende Zeus a été élevé par la "chèvre" Amalthée (ce qui signifie en albanais-seule langue pélasgique ayant survécu- "celle qui a été tètée !). Voilà pourquoi Alexandre se coiffa d'un casque portant à son sommet la tête d'une chèvre "aux deux cornes". Pyrrhus (roi d'Epire), Skanderbeg (héros albanais du XVe s) et le roi Zog d'Albanie se dotèrent de cet emblème sacré. Si cela vous interesse j'ai écrit deux livres sur l'albanie et la Grèce : "Albanie(Histoire et Langue) ou l'incroyables Odyssée d'un peuple préhéllénique" et "Grèce (Myceniens = Pélasges) ou la solution d'une énigmes (disponibles dans les FNAC ou à commander dans les librairies). Ma thèse,appuyée par des arguments, des preuves et des références vérifiables, dit, en substance ceci : Les Grecs n'ont pas existé avant le VIIIe s avant JC. D'ailleurs aucune preuve ne vient confirmer leur existence avant cette date. Mes études et recherches ont été réalisées dans six domaines différents dont chacun apporte de l'eau au moulin de l'autre : histoire ancienne, archéologie, anthropologie, mythologie, ethnologie et surtout linguistique. En effet pratiquement tous les noms de la Mythologie s'explique par l'albanais actuel, sorte de fossile vivant.Voilà, la messe est dite.
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Thot parlait albanais

Mathieu Aref
Posté le: 07 Déc 2006 12:07 Sujet du message: Re: Dhou al -Qarnaïn = Celui qui a deux cornes

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Réponse aux questions d’un Internaute (forum « Passion-histoire »)

Avant de répondre aux deux questions qui me sont posées (« deux cornes…et début de l’apparition des Grecs ») et puisque j’interviens pour la première fois sur ce site j’aimerais mettre la mise au point suivante. Je ne suis pas un fana de ce genre de forum et je n’y interviens que dans des cas très particuliers ou lorsque je lis des aberrations, des contrevérités ou tout simplement des erreurs (véhiculées, hélas, par les nombreux ouvrages lus ici ou là ou les « copiés/collés » abusifs - récupérés par certains Internautes néophytes, pas toujours très cultivés voire des apprentis-sorciers) ou des opinions fantaisistes, inconsistantes ou peu fiables. En outre je le fais sporadiquement soit parce que l’on a lu mes livres et l’on désire avoir des éclaircissements ou quelques précisions supplémentaires soit parce que l’on m’attaque personnellement ou l’on me calomnie. Oui, ça existe, malheureusement. Dans ce cas il s’agit d’Internautes manquant de sang froid, des écorchés vifs aux opinions très orientées, tendancieuses ou carrément chauvines ou ultranationalistes. Dans ces cas là je suis obligé de leur répondre civilement mais fermement. Parfois, même, cela mériterait une comparution devant les tribunaux pour le délit de diffamation (il est facile de repérer un Internaute…déclaré !).
Quant « aux deux cornes » du casque d’Alexandre je tiens à vous préciser (malgré ce que vous avez pu lire) que notre célèbre héros avait déjà porté ce casque avant sa conquête de l’Égypte (les mythes, les rumeurs, les interprétations abusives ne font qu’embrouiller les Vérités historiques et pas seulement). Alexandre, lors de son séjour en Égypte, manifesta le désir d’aller en pèlerinage au temple d’Amon dans l’oasis de Siwa située au nord-ouest du désert occidental. Ce temple était, selon la légende décrite par Hérodote, le jumeau de celui de Dodone (situé en Épire, patrie de sa mère Olympias), ancienne capitale cultuelle des Pélasges.
Quant à l’existence et à l’arrivée des Grecs dans la péninsule balkanique, l’Égée et l’Asie Mineure j’ai développé, à ce sujet, une thèse (arguments, preuves et références à l’appui) dans mon second livre (Grèce –Mycéniens = Pélasges- ou la solution d’une énigme). Ces ouvrages après trente ans de réflexion, de méditation, de confrontations diverses puis cinq ans de recherches et d’études approfondies (dans six domaines différents : histoire ancienne, archéologie, anthropologie, mythologie, ethnologie et surtout linguistique ; chacun de ces domaines amène des preuves à l’autre) révèlent la face cachée de la civilisation grecque stricto sensu et soulève une chape de plomb qui étouffait la Vérité depuis vingt cinq siècles. En effet l’on a volontairement ou inconsciemment escamoté ou occulté de nombreux détails donnés par tous les auteurs antiques (Homère, Hésiode, Hécatée de Milet, Hellanicos de Mytilène, Hérodote Thucydide, Diodore de Sicile, Strabon, etc.) à savoir que : AVANT l’ARRIVÉE des Grecs les Pélasges occupaient le pays qui allait devenir la Grèce, que les Pélasges avaient transmis aux Grecs leurs DIVINITES, que Zeus était pélasgique, que les IONIENS étaient des Pélasges devenus Hellènes après avoir appris le grec ( Pélasges hellénisés, ce qui prouve une soumission donc une occupation étrangère de leur territoire – Troïa en albanais- d’où le nom de la ville de Troie/Troïa), que les rois DORIENS se vantaient d’être des Égyptiens, qu’avant les Pélasges les Grecs n’avaient pas fait parler d’eux, que Danaos l’Égyptien avait conquis le Péloponnèse et y avait chassé d’Argos le roi Pélasgos, que Poséidon était un dieu venu de Libye, que Pélops était un étranger venu d’Asie, etc. Pourquoi donc a-t-on occulté tous ces faits ? La réponse est claire : les Grecs avaient horreur de parler de leur vraie origine ; ils ont conquis un pays, celui des Pélasges, dont ils ont assimilé la culture, la mythologie, une grande partie de leur langue et se sont donnés des ancêtres prestigieux (les héros de l’Iliade, poème épique typiquement pélasgique remanié à la sauce grecque) en empruntant ou en s’accaparant une civilisation qui n’était pas la leur. Il faut savoir que ce que l’on a appelée civilisation « mycénienne » n’a jamais existé sous cette désignation : c’est une invention moderne suite à la découverte de trésors antiques dans la ville de Mycènes par Schliemann à la fin du XIXe s ! Comment donc les Grecs pouvaient-ils exister au XIIe s avant JC alors que l’on ne sait absolument rien non seulement pas d’eux mais surtout de la période dite des Ages obscurs (-1200-800 avant JC) ? Quatre siècles que Thucydide (erreur fatale de sa part, source des contrevérités qui perdurent depuis vingt cinq siècles) a sauté allègrement pour faire coïncider la civilisation grecque (après -800) avec celle de leurs prédécesseurs (tout ce que l’on a désigne du nom de « Mycéniens, Égéens, Egéo-crétois, Minoens », etc.). L’Age d’or de la Grèce (siècle dit de Périclès) ne se situe t-il pas au Ve s avant JC (seulement !) ? La langue grecque n’a été écrite que vers le VIIe s avant JC ainsi que la construction des premiers temples en pierre (styles dorique, ionique et Corinthien). La célébration de Jeux Olympiques, la création de la Polis (premières cités), de l’Amphictionie, les expansions coloniales, l’édition de l’Iliade et l’Odyssée (culture orale issue des Pélasges) tout cela s’est produit après le VIIIe s avant JC ! Aucun indice (historique, archéologique ou ethnolinguistique) ne prouve l’existence des Grecs avant ce VIIIe s. Je signale qu’entre -800 et -750 la population d’Athènes (fondée par les Pélasges et dont le nom s’explique par l’albanais « Ethana » càd « la promise ») avait quadruplé en cinquante ans : autre preuve de l’afflux des immigrants grecs. Malheureusement je ne peux m’étaler davantage (risquant de saturer le site) bien que cet aperçu ne soit pas exhaustif.
Quant à la notion « indo-européen » elle devient de plus en plus obsolète ainsi que la désignation « centum / satem » : une véritable idéologie suivie par de très nombreux linguistes sans rechignement, sans remise en cause, sans études approfondies quant à l’ethnogenèse des langues et la chronologie respective de leur apparition. Tout cela s’est déroulé tranquillement sans contradiction aucune par les générations qui les ont suivis. En effet ce terme indo-européen est relativement récent et n’a été créé que vers la fin du XIXe s par les premiers linguistes. Ces derniers se sont fourvoyés dans de fausses pistes et d’interminables atermoiements qui n’ont fait qu’embrouiller les études et recherches faites depuis une centaine d’années. Ainsi en raison de quelques analogies ou concordances linguistique entre certaines langues occidentales dont le grec et le latin (parlées en EUROPE...) et des langues orientales (parlées en Asie surtout les régions de l’ancienne Perse et celle de l’INDE) dont le sanscrit, le perse ou le tokharien l’on a créé, de toutes pièces, l’INDO-EUROPEANISME voire un lexique « indo-européen » (pourquoi pas une « langue » ?) ! Mais les controverses aujourd’hui y vont bon train. Maintenant certains (voire les mêmes ou leurs disciples) commencent à se poser la question de savoir s’il ne faut pas se baser plutôt sur une protolangue « européenne ». Cette protolangue ils l’avaient sous les yeux : le pélasgique ancien (à l’origine de l’étrusque et du grec) dont seul l’albanais actuel possède le plus grand nombre de vocables anciens et une structure linguistique particulière. D’ailleurs tous les noms de divinités de la Mythologie dite grecque, de nombreux anthroponymes, éponymes, toponymes, oronymes d’Europe (de l’atlantique à la mer Noire) s’expliquent grâce à la langue albanaise actuelle et notamment son dialecte « gheg », demeuré pratiquement intact depuis plus de trois millénaires. J’ai déchiffré 250 mots étrusques, 110 mots roumains, 86 mots basques (les Ibères ont fait partie de la grande famille ethnolinguistique des Pélasges avec les Ligures, les Lélèges, les Cariens, etc.), une quarantaine de mots arméniens (les Arméniens sont d’origine phrygienne, donc pélasgique) et de nombreux autres vocables celtes, hittites, etc.
C’est pourquoi les premiers linguistes ne sachant pas comment distinguer ou différencier cette langue des autres l’ont tout simplement « classée » comme une « langue à part ». Voilà comment ils l’ont mise au placard. Si les premiers linguistes avaient remarqué que l’albanais est une langue issue du thraco-illyrien , lui-même, dérivant directement du pélasgique ancien, la linguistique moderne ne serait pas dans une telle impasse. Par ailleurs ces fausses pistes linguistiques ont entraîné dans la foulée une multitude d’autres fausses pistes, égarements, thèses erronées ou sans fondement, aggravant davantage cette idéologie obsolète : l’on a créé une « ethnie » indo-européenne et, également, une « invasion» d’un hypothétique peuple venant du Nord de l’Europe ( ?!), des marais du Pripet, du Caucase, de Bactriane, d’Inde ou de je ne sais où encore ! Il y a donc deux pans entiers de nos connaissances historiques, ethnolinguistiques et culturelles qui sont à revoir : origines de nos deux plus grandes civilisations occidentales (étrusque et grecque) et les bases de la linguistique moderne.
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Mathieu Aref

07 Déc 2006 12:08 Sujet du message: Re: Dhou al -Qarnaïn = Celui qui a deux cornes

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Quant « aux deux cornes » du casque d’Alexandre je tiens à vous préciser (malgré ce que vous avez pu lire) que notre célèbre héros avait déjà porté ce casque avant sa conquête de l’Égypte (les mythes, les rumeurs, les interprétations abusives ne font qu’embrouiller les Vérités historiques et pas seulement). Alexandre, lors de son séjour en Égypte, manifesta le désir d’aller en pèlerinage au temple d’Amon dans l’oasis de Siwa située au nord-ouest du désert occidental. Ce temple était, selon la légende décrite par Hérodote, le jumeau de celui de Dodone (situé en Épire, patrie de sa mère Olympias), ancienne capitale cultuelle des Pélasges.
Quant à l’existence et à l’arrivée des Grecs dans la péninsule balkanique, l’Égée et l’Asie Mineure j’ai développé, à ce sujet, une thèse (arguments, preuves et références à l’appui) dans mon second livre (Grèce –Mycéniens = Pélasges- ou la solution d’une énigme). Ces ouvrages après trente ans de réflexion, de méditation, de confrontations diverses puis cinq ans de recherches et d’études approfondies (dans six domaines différents : histoire ancienne, archéologie, anthropologie, mythologie, ethnologie et surtout linguistique ; chacun de ces domaines amène des preuves à l’autre) révèlent la face cachée de la civilisation grecque stricto sensu et soulève une chape de plomb qui étouffait la Vérité depuis vingt cinq siècles. En effet l’on a volontairement ou inconsciemment escamoté ou occulté de nombreux détails donnés par tous les auteurs antiques (Homère, Hésiode, Hécatée de Milet, Hellanicos de Mytilène, Hérodote Thucydide, Diodore de Sicile, Strabon, etc.) à savoir que : AVANT l’ARRIVÉE des Grecs les Pélasges occupaient le pays qui allait devenir la Grèce, que les Pélasges avaient transmis aux Grecs leurs DIVINITES, que Zeus était pélasgique, que les IONIENS étaient des Pélasges devenus Hellènes après avoir appris le grec ( Pélasges hellénisés, ce qui prouve une soumission donc une occupation étrangère de leur territoire – Troïa en albanais- d’où le nom de la ville de Troie/Troïa), que les rois DORIENS se vantaient d’être des Égyptiens, qu’avant les Pélasges les Grecs n’avaient pas fait parler d’eux, que Danaos l’Égyptien avait conquis le Péloponnèse et y avait chassé d’Argos le roi Pélasgos, que Poséidon était un dieu venu de Libye, que Pélops était un étranger venu d’Asie, etc. Pourquoi donc a-t-on occulté tous ces faits ? La réponse est claire : les Grecs avaient horreur de parler de leur vraie origine ; ils ont conquis un pays, celui des Pélasges, dont ils ont assimilé la culture, la mythologie, une grande partie de leur langue et se sont donnés des ancêtres prestigieux (les héros de l’Iliade, poème épique typiquement pélasgique remanié à la sauce grecque) en empruntant ou en s’accaparant une civilisation qui n’était pas la leur. Il faut savoir que ce que l’on a appelée civilisation « mycénienne » n’a jamais existé sous cette désignation : c’est une invention moderne suite à la découverte de trésors antiques dans la ville de Mycènes par Schliemann à la fin du XIXe s ! Comment donc les Grecs pouvaient-ils exister au XIIe s avant JC alors que l’on ne sait absolument rien non seulement pas d’eux mais surtout de la période dite des Ages obscurs (-1200-800 avant JC) ? Quatre siècles que Thucydide (erreur fatale de sa part, source des contrevérités qui perdurent depuis vingt cinq siècles) a sauté allègrement pour faire coïncider la civilisation grecque (après -800) avec celle de leurs prédécesseurs (tout ce que l’on a désigne du nom de « Mycéniens, Égéens, Egéo-crétois, Minoens », etc.). L’Age d’or de la Grèce (siècle dit de Périclès) ne se situe t-il pas au Ve s avant JC (seulement !) ? La langue grecque n’a été écrite que vers le VIIe s avant JC ainsi que la construction des premiers temples en pierre (styles dorique, ionique et Corinthien). La célébration de Jeux Olympiques, la création de la Polis (premières cités), de l’Amphictionie, les expansions coloniales, l’édition de l’Iliade et l’Odyssée (culture orale issue des Pélasges) tout cela s’est produit après le VIIIe s avant JC ! Aucun indice (historique, archéologique ou ethnolinguistique) ne prouve l’existence des Grecs avant ce VIIIe s. Je signale qu’entre -800 et -750 la population d’Athènes (fondée par les Pélasges et dont le nom s’explique par l’albanais « Ethana » càd « la promise ») avait quadruplé en cinquante ans : autre preuve de l’afflux des immigrants grecs. Malheureusement je ne peux m’étaler davantage (risquant de saturer le site) bien que cet aperçu ne soit pas exhaustif.
Quant à la notion « indo-européen » elle devient de plus en plus obsolète ainsi que la désignation « centum / satem » : une véritable idéologie suivie par de très nombreux linguistes sans rechignement, sans remise en cause, sans études approfondies quant à l’ethnogenèse des langues et la chronologie respective de leur apparition. Tout cela s’est déroulé tranquillement sans contradiction aucune par les générations qui les ont suivis. En effet ce terme indo-européen est relativement récent et n’a été créé que vers la fin du XIXe s par les premiers linguistes. Ces derniers se sont fourvoyés dans de fausses pistes et d’interminables atermoiements qui n’ont fait qu’embrouiller les études et recherches faites depuis une centaine d’années. Ainsi en raison de quelques analogies ou concordances linguistique entre certaines langues occidentales dont le grec et le latin (parlées en EUROPE...) et des langues orientales (parlées en Asie surtout les régions de l’ancienne Perse et celle de l’INDE) dont le sanscrit, le perse ou le tokharien l’on a créé, de toutes pièces, l’INDO-EUROPEANISME voire un lexique « indo-européen » (pourquoi pas une « langue » ?) ! Mais les controverses aujourd’hui y vont bon train. Maintenant certains (voire les mêmes ou leurs disciples) commencent à se poser la question de savoir s’il ne faut pas se baser plutôt sur une protolangue « européenne ». Cette protolangue ils l’avaient sous les yeux : le pélasgique ancien (à l’origine de l’étrusque et du grec) dont seul l’albanais actuel possède le plus grand nombre de vocables anciens et une structure linguistique particulière. D’ailleurs tous les noms de divinités de la Mythologie dite grecque, de nombreux anthroponymes, éponymes, toponymes, oronymes d’Europe (de l’atlantique à la mer Noire) s’expliquent grâce à la langue albanaise actuelle et notamment son dialecte « gheg », demeuré pratiquement intact depuis plus de trois millénaires. J’ai déchiffré 250 mots étrusques, 110 mots roumains, 86 mots basques (les Ibères ont fait partie de la grande famille ethnolinguistique des Pélasges avec les Ligures, les Lélèges, les Cariens, etc.), une quarantaine de mots arméniens (les Arméniens sont d’origine phrygienne, donc pélasgique) et de nombreux autres vocables celtes, hittites, etc.
C’est pourquoi les premiers linguistes ne sachant pas comment distinguer ou différencier cette langue des autres l’ont tout simplement « classée » comme une « langue à part ». Voilà comment ils l’ont mise au placard. Si les premiers linguistes avaient remarqué que l’albanais est une langue issue du thraco-illyrien , lui-même, dérivant directement du pélasgique ancien, la linguistique moderne ne serait pas dans une telle impasse. Par ailleurs ces fausses pistes linguistiques ont entraîné dans la foulée une multitude d’autres fausses pistes, égarements, thèses erronées ou sans fondement, aggravant davantage cette idéologie obsolète : l’on a créé une « ethnie » indo-européenne et, également, une « invasion» d’un hypothétique peuple venant du Nord de l’Europe ( ?!), des marais du Pripet, du Caucase, de Bactriane, d’Inde ou de je ne sais où encore ! Il y a donc deux pans entiers de nos connaissances historiques, ethnolinguistiques et culturelles qui sont à revoir : origines de nos deux plus grandes civilisations occidentales (étrusque et grecque) et les bases de la linguistique moderne.
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Thot parlait albanais

http://www.passion-histoire.net/phpBB_F…

N OUBLIONS PAS QUE CE MONSIEUR SIGNE QUE LE DIEU EGYPTIEN THOT PARLAIT ALBANAIS

aller voir sur ce site et vous verez d ou tient il cette preuve irrefutable

http://balkans.courriers.info/article44…

ET J ADORE AUSSI SA PHRASE "origines de nos deux plus grandes civilisations occidentales (étrusque et grecque)", IL EST AUSSI TRES GENTIL AVEC NOS AMIS ITALIENS

COMMENT PEUT ON LAISSER DE TEL INDIVIDU RACONTER DE TEL INEPTIE

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Skipp

Encore un nationaliste révisionniste... On en cotoie beaucoup ces derniers temps... Entre les afrocentristes, les pan-turcs ([i]qui voient des turcs partout même chez les amérindiens, chez les berbères et chez les étrusques[/i]), les serbes-nazionalistes, et les pan-albanais on est mal barré. On devrait enfermer tout ces cons dans une petite salle et les laisser s'étriper entre-eux. (td)

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Σάβ, 02/17/2007 - 14:04 Μόνιμος σύνδεσμος