Le patriarcat à istanbul

Le papriarche dit qu'il est prêt à récupérer ses droits par tout moyen

mais aucune des méthodes essayées jusque là par les pariarche sucessifs (soumission, soutien de la politique extérieure turque, renonciation à défendre les droits de son troupeau, les grecs tués ou expulsés en 1955 64 67) ne fonctionne; car tendre l'autre joue est une méthode peu éprouvée dans le monde des hommes et qui ne fait pas verser de larme au gouvernemet turc)

un bon moyen serait qu'il s’exile en grande pompe, en faisant savoir au monde entier, que pour la première fois il n’y aura plus de patriarche à constantinople, à cause de l’attitude du gouvernement turc à son égard

Je suis persuadé que le tollé que cela provoquera aura de effets positifs.

Tant qu’il n’agit pas comme ça, il ne sera pas respecté

je pense que la patriarcat songe à saisir la justice turque ; si celle-ci ne lui donne pas raison, la cour européenne des droits de l’homme le fera ; certes, mais c’est une mise au point plus forte qu’il faut pour mettre un erme définitif à toutes ces tentatives de grignotage grâce auxquelles les grecs d'istanbul et le patriarcat ont été engoutis par un organisme à l'appétit vorace; il n'en reste que des miettes

VOIR l'article d'info grece à ce sujet

Le Patriarcat œcuménique en situation de squatteur après la confiscation de ses propriétés à Constantinople par la Turquie
infogrece, Date: 27 juillet 2005 à 12:16:25 CEST
Sujet: Social

L'église de St George sur l'île des Princes (Pringiponisia) au large d'Istanbul

"Nous sommes décidés à défendre nos droits par tous les moyens", a affirmé mardi le patriarche œcuménique de Constantinople, Bartholomeos I, dénonçant une nouvelle tentative de l'administration publique turque de s'approprier des biens immobiliers du Patriarcat et de la communauté grecque, en inscrivant dans ses registres les monastères de Pringiponissia comme étant propriété de l'Etat turc et en les déclarant "occupés".

"Cela signifiant que l'Etat turc poccède l'administration et la gestion de ces propriétés dont nous sommes légalement propriétaires. […] Nous ne demandons rien de plus que nos droits, nous sommes citoyens de ce pays. Nous respectons à la lettre toutes nos obligations face a l'Etat (turc), mais c'est justement pourquoi nous exigeons tous nos droits", a conclu Bartolomé son allocution prononcée à l'occasion de la réception du président du Barreau de Thessalonique en visite au Phanar, siège du Patriarcat.