Dans la revue 'l'Illustration' No. 3985-3986, 19-26 julliet 1919.
[u]'La Fête de la Victoire'[/u]
14 Juillet à Paris,par Gustave Babin.
"...les représentants de l'armée hellénique, en tête desquels marchent les evzones coiffés du petit bonnet à houppe, les jambes nerveuses serrées dans des maillots blancs, les pieds chaussés d'amusants souliers à la pointe retroussée;..."
Combien de ces hommes (si "folkloriques", en Evzones, n'est-ce pas?) disparaîtront en Asie mineure et en Thrace, quand la Grèce -alliée- sera abandonnéee par ses "Alliés", en particulier la France, qui laissa ses armes aux Kémalistes? On en voulait à la Grèce, divisée entre les Royalistes constantiniens et les Vénizélistes pourtant engagés auprès d'eux et sur des promesses précises. L'Héllènisme asiatique, ionien sera sacrifié, premier "échange de populations" du XX°s. peu aprés le massacre -on regardait ailleurs- de l'autre peuple autochtone ancestral : les Arméniens.)
"le Boche paiera" puis le National-Socialisme hitlérien, autres génocides, autres échanges de populations... Les "fruits de la Victoire", quoi!
Re: 14 juillet 1919, défilé de la Victoire, les Grecs...
intéressant!
la plupart des grecs d'asie mineure sont partis avant l'échage ed population, chassés apr les massacre
mais l'hellénisme avait perdu l'anatolie bien avant : en mille ans, de majoritaire, il est devenu minoritaire avec l'arrivée des turcs et l'islamisatio-nturcisation des locaux
du coup même sil a grèce avait gardé al thrace orientale et la région de smyrne, elle aurait été confrontée au fait que ces régions étaient presque partout majoritairement peuplées de turcs
le sort des nations ne se dessine pas que par les armes mais il passe aussi par le dessous de la ceinture !
et ceux qui se multiplient, lorsqu'lis sont bien gouvrnées, trimophent souvent de ceux qui ne se reproduisent plus; l'oliganthropia a toujous été l'ennemi des grecs et elle l'est encore aujourd'hui; de là à savoir si c'est une fatalité ou un problème que l'on peut traiter comme tous les autres problèmes...
Re: 14 juillet 1919, défilé de la Victoire, les Grecs...
Je suis petite -fille de Ekatérini née Missoyenni-Paouzoglou à Constantinople vers les années 1875-80 qui épousa en Grèce vers 1900 Dionyssios Lambrinidis (né Lambrinos). Elle avait une soeur, Dionyssia et un frère qui émigra en France et aux USA et dont j'ignore le prénom. J'aimerais bien contacter des personnes ayant connu des familles de ce nom ou connaissant quelque chose sur l'origine de ce nom, notamment la version héllenique du nom Paouzoglou (très proche de Paléologou peut-ëtre).
POur la trahison des "alliés" j'ai ouï parler d'une certaine intervention du tsar de Russie qui ne verait pas d'un bon oeil le redressement grec. Reste à vérifier. Néanmoins, ayant fréquenté des églises orthodoxes russes, je dirais que l'heure est plutôt encore aux coups bas très très vilains et en collaboration très étroite avec les autorités françaises.
Mais les français n'ont rien à leur envier sur ce point: ayant vu que ma déclaration de naissance avait été faite au Service spécial de l'Etat Civil d'Athènes, la famille de mon père ayant peut-être conservé la double nationalité pour des raisons de papiers, j'ai fait l'objet d'enquêtes assez sournoises et même d'une certaine agressivité politique contre moi et contre toute ma famille. Lorsque je m'en suis plainte récemment, j'ai réçu sans savoir pour quel motif, un e-mail d'un monsieur turc parfaitement inconnu dont je n'avais jamais entendu parler de ma vie, enseignant à Paris II, enquêtant sur des sujets de sécurité politique en France et en Méditerranée orientale (Turquie-Iran), qui m'envoie ses amitiés. Je n'en reviens pas. A croire que moi et ma famille nous sommes pris en otages(c'était très grave pour que je puisse vous en parler dans un simple message). Pourquoi? C'est mon origine grec et de surcroît d'Asie Mineure et/ou mon nom de famille?
Σε απάντηση του Re: 14 juillet 1919, défilé de la Victoire, les Grecs... από Katerina Lambrinidou
Re: 14 juillet 1919, défilé de la Victoire, les Grecs...
Un de mes cousins germains, né à Constantinople, fut baptisé à l'église Hagia Trias (Sainte Trinité) au "stavrodromi" de la ville. Il est âgé, et a eu besoin de prouver au mieux son origine. Il écrivit au Patriarcat, avec la date (approximative, mais proche). On lui a adressé un double de son certificat de baptême, qui "fit foi" (si je puis dire...)
Mon grand-père paternel (qui a servi d'engrais organique en Asie mineure, lors de la Katastrophi) avait été élève à la "Mégali tou génous scholi". J'ai écrit pour des précisions. Archives introuvables (si elles existent encore).
Quand le peintre Yoldjoglou (né en France, de père cappadocien, avant sa mort chantre à la Mikri Ekklissia) fit sa première exposition, l'ambassade turque (très attentive, très agissante, comme toute l'excellente et efficace diplomatie turque) lui proposa de l'aider à se faire connaître, le croyant Turc. Votre patronyme ayant cette origine a dû le faire croire pour vous
Les "-oglou" (fils de... oglan garçon) sont grecs (le U n'existe pas chez nous). Les "-oglu" sont Turcs ou Kurdes. La turquification des noms et même des prénoms a été faite pour favoriser l'oubli des minorités non turcomusulmanes. Partout ça a été favorisé (voir USA, et même en France: Tériade pour Sôtiriadis, Deligeorges) quant on n'efface pas définitivement son origine même lointaine (le député Cambadélis, l'ambassadeur US Négroponte, l'homme de la CIA Tenet, Agnew vice-président "viré", etc)
Σε απάντηση του Re: 14 juillet 1919, défilé de la Victoire, les Grecs... από Th. Efthymiou
Rangavis
Bonjour à tous, Kalimera sas,
j'ai retrouvé quelque chose concernant mes origines de Co,stantinople mais c'est vieux, cela remonte au 18 ème siècle. En réalité ma grabd mère a modifié son nom de Mocenigo en Mocigeno et ensuite en Missogeni; je l'ai compris car j'ai hérité d'elle le blason qui s'avéra être celui de la famille de Venise Mocenigo governeurs de l'heptanèse déclarée autonome sous le protectorat de Constantinopme et des Russes en 1801. Ensuite, ils ont modifié leur nom. Mon arrière grand père aussi lequel né à Zante avait le nom Lambrinos que mon grand père modifia en Lambrinidis. Ils descendaient de Andronikos Rangabès grand rhéteur et Cartofylax du Patriarchat de Const. lequel nomma ses trois fils issus de son mariage avec Eleni Rosseti fille d'Antoni Rouset vôda de Moldovalaquie descandant des Cantacouzènes Anges et Paléologues Lambrinos pour éviter les persécutions turques. L'un d'eux a eu un fils Antoni Lambrino né en Roumanie qui émigra en Padoue. Ils se mariaient souvent avec des italiennes pour financer la lutte contre les Turcs
Σε απάντηση του Rangavis από Lambre
L'origine des Macédoniens, de Philippe le Macédon et d'Alexand
Excusez-moi de mes nombreuses fautes de français dans mon précédent message; j'étais très pressée et c'est écrit trop rapidement
Sujet d'actualité
mes sources historiques: la Bible, livre des Maccabées 1; Préambule: Alexandre et Philippe sont originaires du pays de Chetiim: c'est partant de ce pays qu'ils ont conquis premièrement l'Héllade et en suite les pays du proche Orient: la Persie, etc.
Ce qu'est le pays de Chetiim? Les îles de la Mediterranée: Ezéchiel, 27, 6:
Chittim
(2.) Chittim or Kittim, a plural form (Gen 10:4), the name of a branch of the descendants of Javan, the "son" of Japheth. Balaam foretold (Num 24:24) "that ships shall come from the coast of Chittim, and afflict Eber." Daniel prophesied (Dan 11:30) that the ships of Chittim would come against the king of the north. It probably denotes Cyprus, whose ancient capital was called Kition by the Greeks.
The references elsewhere made to Chittim (Isa 23:1; Jer 2:10; Ezek 27:6) are to be explained on the ground that while the name originally designated the Phoenicians only, it came latterly to be used of all the islands and various settlements on the sea-coasts which they had occupied, and then of the people who succeeded them when the Phoenician power decayed. Hence it designates generally the islands and coasts of the Mediterranean and the races that inhabit them.
Rien à voir avec les Bulgares ni les Illyriens ni autres "Hangari" et mongolo-turcs. Par ailleurs, leur langue était bien le grec: les bulgares et autres peuples nomades qui vivaient retirés sur les montagnes n'osant s'approcher de ces régions de la GRèce ne commencèrent à se stabiliser comme ethnies qu'après la conquête de la Grèce (Macédoine, Thrace(colonies grecques à partir du VIIe siècle av. JC) et Héllade par les Romains. Ils avaient un autre parler non compris par les grecs ni dans l'antiquité ni aujourd'hui et une autre écriture proche du turc.
Σε απάντηση του L'origine des Macédoniens, de Philippe le Macédon et d'Alexand από LAMBRE
Re: L'origine des Macédoniens, de Philippe le Macédon et d'Ale
BONSOIR CATHY,essaie d'etre plus claire svp MERCI.UN GRECO-ARVANITIS-SLAVO-MAKEDONSKI.Si tu as des problèmes pour t'exprimer,on peut se voir autour d'un:)-D
Σε απάντηση του L'origine des Macédoniens, de Philippe le Macédon et d'Alexand από LAMBRE
Une "Macédoine" de l'Ancien Testament, et la Macédoine hellén
Abel- Chittim, la prairie aux acacias, à 15 km de Jéricho, sur la rive gauche du Jourdain :
« Ils (les Hébreux) occupaient la rive du Jourdain, depuis Bêth-Hayechimoth jusqu'à Abêl-Hachittîm, dans les plaines de Moab » (Les Nombres, XXXIII, 49). Les Hébreux y campèrent avant de traverser la rivière.
Josué, vous vous Iissous-Jésus en grec, durant l'Exode, combat les Amalécites dans la plaine, alors que Moïse prie sur la colline pour la victoire. Il l’accompagna au mont Sinaï. Moïse y monta seul, pour 40 jours et 40 nuits. Josué installera les tribus juives, après 40 ans d'errance dans le désert, au pays de Canaan. (la Terre promise).
« Du camp de Chittim, Josué, fils de Noun, envoya secrètement deux hommes avec l'ordre d'explorer le pays et la ville de Jéricho. Arrivés à Jéricho, les deux espions allèrent passer la nuit dans la maison d'une prostituée nommée Rahab ». (Josue, II, 1).
« Les Israélites s'installèrent à Chittim. Là ils commencèrent à se livrer à la débauche avec des femmes moabites. 2Elles les entraînèrent à offrir des sacrifices à leurs dieux. Les Israélites partagèrent leurs repas sacrés et adorèrent leurs dieux. 3Ils s'associèrent en particulier au culte du dieu Baal, de Péor, (lBelphégor) ce qui provoqua la colère du Seigneur contre eux. 4Le Seigneur dit à Moïse : « Prends les chefs du peuple et fais-les pendre en ma présence, face au soleil ; alors l'ardente colère que je ressens envers vous s'apaisera. » 5Moïse donna cet ordre aux responsables israélites : « Que chacun de vous tue ceux de ses hommes qui se livrent au culte du Baal de Péor ! »
6A ce moment-là un Israélite arriva parmi les siens, accompagné d'une Madianite. Moïse et toute la communauté d'Israël, qui pleuraient à l'entrée de la tente de la rencontre, les virent. 7Le prêtre Pinhas, fils d'Eléazar et petit-fils d'Aaron, se leva alors du milieu de la communauté et saisit une lance ; 8il pénétra derrière l'homme dans la tente où il se rendait avec la Madianite et il les tua tous les deux d'un coup en plein ventre. Aussitôt le fléau qui s'était abattu sur les Israélites prit fin. 9Le nombre des victimes s'élevait déjà à vingt-quatre mille morts.
10Le Seigneur dit à Moïse : 11« Le prêtre Pinhas, fils d'Eléazar et petit-fils d'Aaron, a détourné ma colère des Israélites en se montrant aussi intransigeant que moi à leur égard. C'est pourquoi, bien que j'exige d'être leur seul Dieu, je ne les ai pas exterminés. 12Maintenant, déclare-lui que je conclus avec lui une alliance qui sera source de paix ; 13cette alliance, valable pour lui et pour ses descendants, fait d'eux des prêtres pour toujours. Il a en effet montré son attachement exclusif pour moi, son Dieu, et il a obtenu ainsi le pardon en faveur des Israélites. »
14L'Israélite tué en même temps que la Madianite s'appelait Zimri, fils de Salou ; il était un des dirigeants de la tribu de Siméon. 15Quant à la Madianite, elle s'appelait Kozbi ; son père, nommé Sour, était chef de plusieurs clans d'une tribu madianite. 16Le Seigneur dit à Moïse : 17« Attaquez les Madianites et exterminez-les ! 18Ils ont été pour vous des ennemis pleins de perfidie, dans l'affaire de Péor et dans celle de Kozbi, la fille d'un de leurs princes, qui fut tuée lors du fléau de Péor. » (Les nombres, chapitre XXV).
Notre Macédoine, pays de Chittim, apparaît dans le livre d'Esther, à propos des origines macédoniennes hypothétiques d'Aman, cruel grand vizir d'Assuérus (roi des Perses et des Mèdes) qui finira pendu à la potence qu'il avait préparée pour Mardochée, l'oncle et père adoptif d'Esther. Après avoir répudié son épouse la reine Vasthi, Assuérus fit chercher une nouvelle épouse, et couronne la belle Esther du diadème royal. Le digne Mardochée servira loyalement le roi, dénoncera un complot qui voulait assassiner le souverain. Aman prévoit de tuer les Juifs de l'Empire. Esther obtint du roi de sauver Mardochée qu'Aman voulait prendre, et ses congénères-coreligionnaires, après avoir avoué qu'elle était juive. Mardochée devint le grand vizir. Pourim est la fête, toujours célébrée, qui commémore le souvenir de la très belle et très séduisante reine qui obtint le salut des siens.
4000 hoplites macédoniens combatirent au côté de 8000 soldats juifs contre les Galates, en Babylonie.
C'est en fait avec Paul de Tarse que la Macédoine, alors province romaine parfaitement hellénique, entre dans le Nouveau Testament, écrit en grec (sauf un Évangile).
On peut toujours espérer qu'un jour, un Slavo-Macédonien de la Bulgarie de l'Ouest ouvrira, lira et assimilera l'histoire de cette province, dont les calembredaines et les balivernes officielles de Skoplié veulent nous faire croire que le roi Philippe le borgne, et son fils le grand Alexandre, élève d'Aristote, étaient ses ancêtres directs! Un mensonge total, sans cesse répété!
Bref, aucun rapport géographique et historique entre la halte des Juifs au bord du Jourdain, au pays des acacias, et la Macédoine où les Komitadjis et les makédonomaques grecs (comme Pávlos Mélas, pure et sublime figure qui versa son sang pour que la Macédoine grecque soit réunie à la Grèce qui fut macédonienne.
Σε απάντηση του Une "Macédoine" de l'Ancien Testament, et la Macédoine hellén από Thomas Efthymíou
Re: Une "Macédoine" de l'Ancien Testament, et la Macédoine hel
Bonjour merci je n'avais pas remarqué ces passages c'est très intéressant mais je pense que ces passages ne peuvent infirmer la première acception du nom Chittim à savoir des îles grecques de la Mediterranée. Je pense même que le pays de Moab est soit la Palestine d'aujourd'hui soit un pays habité par une peuplade apparentée aux Philistins qui étaient des idolâtres. Car les anciens Philistins (pré-Palestiniens) étaient à l'origine des peuples helléniques et autres (étrusques par ex.)venus des îles de la Mediterranée (il peut s'agir aussi de la Corse) nommés les Peuples de la Mer. Ces peuples ayant combattu un Pharaon d'Egypte (j'ai oublié les références mais je chercherai je crois Ramsès III) sans succès mais d'excellents navigateurs (l'art de la navigation était ignoré des anciens Egyptiens mis à part celle du Nil) furent employés en échange des territoires proches de la Mediterranée concedés (voir la Palestine actuelle et ses environs) par ce bon Paharaon afin qu'ils surveillent pour son compte le passage clandestin par voie de mer d'autres ennemis de son royaume. (voir le Disque de Phaistos représentation des guerriers des Peuples de la Mer avec un casque orné de plumes et la fresque ornant le tombeau de Ramsès III je crois représentant justement ces guerriers). Ces peuples nommés Peuples de la Mer (mediterranéenne) occupaient les plaines du Jourdain et des alentours étant des peuples nomades et bergers. Avant de les vaincre définitivement sous le règne de David, les hébreux vivaient surtout sur les montagnes n'osant s'en approcher.
Σε απάντηση του Re: L'origine des Macédoniens, de Philippe le Macédon et d'Ale από SARVANIC
Vlad Tepes
Bonjour Sarvanic,
excuse-moi si tu ne comprends pas quelque chose dans mon message, j'écris toujours à la hâte et entre-deux. Tu peux consulter pour plus d'explications les messages qui suivirent, celui de Thomas Efthymiou et mes deux réponse à son message et au tien.Personnellemnt je trouve que c'est enrichissant d'avoir de multiples origines; moi-même je n'ai pas que des origines grecques mais ce qui prévaut c'est peut-être l'endroit où tu es né ou l'endroit où tu te sens chez toi. Moi je suis née en Grèce mais j'ai, si on le prends comme ça des origines gréco-italiano-vénéto-roumano-moldavo-valaco-chypriote et vikings(ces deux derniers de par ma famille maternelle) . J'ai même découvert en cherchant plus loin que j'ai du sang de Vlad Tépes (Comte Dracula) par filiation directe de son cousin qui fut le prince Saint Stefan de Moldovalachie puisqu'il est à la mode de remonter à si loin, ce qui ne m'empêche pas de me sentir cent pour cent grecque car le coeur y est! Mais où vis-tu? Je n'habite pas à Paris.
Σε απάντηση του Re: L'origine des Macédoniens, de Philippe le Macédon et d'Ale από SARVANIC
Comte Dracula
Bonjour Sarvanic,
excuse-moi si tu ne comprends pas quelque chose dans mon message, j'écris toujours à la hâte et entre-deux. Tu peux consulter pour plus d'explications les messages qui suivirent, celui de Thomas Efthymiou et mes deux réponse à son message et au tien.Personnellemnt je trouve que c'est enrichissant d'avoir de multiples origines; moi-même je n'ai pas que des origines grecques mais ce qui prévaut c'est peut-être l'endroit où tu es né ou l'endroit où tu te sens chez toi. Moi je suis née en Grèce mais j'ai, si on le prends comme ça des origines gréco-italiano-vénéto-roumano-moldavo-valaco-chypriote et vikings(ces deux derniers de par ma famille maternelle) . J'ai même découvert en cherchant plus loin que j'ai du sang de Vlad Tépes (Comte Dracula) par filiation directe de son cousin qui fut le prince Saint Stefan de Moldovalachie puisqu'il est à la mode de remonter à si loin, ce qui ne m'empêche pas de me sentir cent pour cent grecque car le coeur y est! Mais où vis-tu? Je n'habite pas à Paris.
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