Décès de Georgios Papandréou, figure marquante de la scène politique grecque du milieu du 20e siècle. Ses funérailles, deux jours après, furent l'occasion d'une première manifestation populaire contre le régime des colonels.
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«Georgios Papandréou» σε μερικές ημερομηνίες
Μερικές αξιοσημείωτες ημερομηνίες στην ιστορία του/της/των Georgios Papandréou.
Le président du Parlement Georgios Athanassiadis-Novas succède à Georgios Papandréou au poste de Premier ministre suite à la démission de ce dernier survenue après le refus du roi Constantin de lui accorder le portefeuille du ministère de la Défense.
Le Premier ministre Georgios Papandreou annonce l'établissement de l'enseignement obligatoire jusqu'à l'âge des 15 ans, l'usage de la version démotique du grec moderne dans les écoles et la distribution gratuite des livres scolaires.
L'Union du Centre, dirigée par Georgios Papandreou emporte largement les élections législatives avec 52,72% des votes. La coalition entre l'ERE (droite) de Panagiotis Kanellopoulos et le Parti des Progressistes de Spyridon Markezinis obtient 35,26%, l'EDA (gauche démocratique) 11,8%.
Le gouvernement nouvellement nommé de Georgios Papandreou (centre-gauche) avec le soutien des communistes de l'EDA, n'ayant pas la majorité absolue, démissionne et annonce la tenue de nouvelles élections.
Alexandros Papagos, à la tête de l'Alerte hellénique (Ellinikos Synagermos, conservateurs) allié du centriste Georgios Papandreou, gagne les élections législatives en emportant 247 des 300 sièges du parlement. La gauche représentée par l'EDA reste hors du parlement. L'Union du Centre (EPEK) de Nikolaos Plastiras obtient 31 sièges et les libéraux (centre gauche) de Sofoklils Venizelos 20 sièges.
Arrivée à Athènes du gouvernement grec en exil conduit par Georgios Papandreou après le retrait des troupes allemandes d'occupation.
Georgios Papandreou devient Premier ministre du gouvernement grec en exil au Caire pendant l'occupation allemande de la Grèce.
Naissance de Georgios Papandréou à Kaletzi en Achaïe dans la famille Stavropoulos. Il adoptera plus tard le surnom de Papandréou (fils du père André, du prénom de son père Andreas qui était pope).