Dimitrios Ypsilantis est élu président du Parlement grec
A l'issue des travaux de la 1re Assemblée Nationale des Grecs, Dimitrios Ypsilantis est élu Président du Parlement.
A l'issue des travaux de la 1re Assemblée Nationale des Grecs, Dimitrios Ypsilantis est élu Président du Parlement.
Le général de l'armée Nikolaos Plastiras organise un coup d'Etat visant à instaurer une dictature sur le modèle de Mussolini afin de maintenir au pouvoir le Premier ministre Eleftherios Venizelos qui, la veille, venait de perdre les élections législatives. Avec les généraux des provinces qui refusent de suivre le mouvement et menacent de descendre sur Athènes, le coup d'Etat est avorté.
Malgré les rumeurs que le gouvernement d'Eleftherios Venizelos ne rendrait pas le pouvoir en cas de défaite, les élections législatives donnent la majorité à l'Union de la majorité conduite par Panagis Tsaldaris et soutenue par Georgios Kondylis et Ioannis Metaxas.
Large victoire du parti d'extrême gauche Syriza qui recueille 36,34 % des suffrages aux élections législatives ; il manque de 2 sièges la majorité absolue.
Nana Mouskouri élue député européen sous la bannière de Nea Dimokratia, le parti de centre-droite grecque, à l'issue des élections européennes de 1994.
Andreas Papandreou à la tête du PASOK gagne les élections législatives : PASOK 48,07%, Nea Dimokratia (ND) 35,87%, KKE 10,93%.
Les deux partis en compétition, le Parti National de Theodoros Deligiannis et le Nouveau Parti de Georgios Theotokis, sortent à égalité, avec 102 sièges chacun, des élections législatives. Pendant les 5 jours qui suivent, les militants des deux camps s'affrontent violement dans les rues d'Athènes.
Fin de la royauté en Grèce après le référendum pour le régime politique qui a suivi la chute des colonels et par lequel les Grecs se déclarent à la large majorité des 69,2% pour une république non royaliste.
Le parlement grec vote la loi accordant l'égalité des droits civiques aux femmes et par conséquent ouvrant le droit aux femmes d'être candidates aux élections municipales et parlementaires.
L'Union du Centre, dirigée par Georgios Papandreou emporte largement les élections législatives avec 52,72% des votes. La coalition entre l'ERE (droite) de Panagiotis Kanellopoulos et le Parti des Progressistes de Spyridon Markezinis obtient 35,26%, l'EDA (gauche démocratique) 11,8%.