Cinq mois après la chute de la dictature des colonels, le gouvernement de transition de Constantin Caramanlis propose au peuple grec de décider par référendum de la nature de la nouvelle république, mais la question posée revient à choir avec ou sans roi. 69,18% des électeurs votent contre une république avec un roi à sa tête et 30,82% pour. C'est une deuxième fin de règne pour Constantin II.
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«dictature» σε μερικές ημερομηνίες
Μερικές αξιοσημείωτες ημερομηνίες στην ιστορία του/της/των dictature.
Décès de Georgios Papandréou, figure marquante de la scène politique grecque du milieu du 20e siècle. Ses funérailles, deux jours après, furent l'occasion d'une première manifestation populaire contre le régime des colonels.
Après l'échec du contre-coup d'Etat du roi Constantin, le Comité revolutionnaire nomme le général Georgios Zoïtakis vice-roi de Grèce et le chef de la junte militaire Georgios Papadopoulos Premier ministre.
Le général de l'armée Nikolaos Plastiras organise un coup d'Etat visant à instaurer une dictature sur le modèle de Mussolini afin de maintenir au pouvoir le Premier ministre Eleftherios Venizelos qui, la veille, venait de perdre les élections législatives. Avec les généraux des provinces qui refusent de suivre le mouvement et menacent de descendre sur Athènes, le coup d'Etat est avorté.
Alexandros Panagoulis s'évade de la prison militaire de Bogiati où il était détenu pour avoir monté un attentat manqué contre le colonel Papadopoulos.
Début de la révolte estudiantine contre la junte militaire avec une manifestation des étudiants à l'Ecole polytechnique d'Athènes demandant l'abrogation d'une loi (N. 1347) obligeant au service militaire immédiat les étudiants impliqués dans des actions syndicales. Arrestation de 11 étudiants par la police.
Les tanks de l'armée envoyés par le régime des colonels pénètrent dans l'Ecole polytechnique où des milliers d'étudiants contestataires s'étaient enfermés quelques jours auparavant. Officiellement 840 personnes sont arrêtées, les morts s'élèvent à 24. Le chef de la junte, Georgios Papadopoulos proclame la loi martiale.
Le tribunal militaire condamne deux fois à la peine capitale Alexandros (Alekos) Panagoulis pour tentative d'assassinat du chef de la june, Georgios Papadopoulos.
Après l'échec d'un contre-coup d'Etat pour renverser la dictature des colonels, le roi Constantin et sa famille quittent la Grèce à bord de l'avion royal, parti de l'aéroport de Kavala pour Rome.
Fin du procès pour les "événements du Polytechnique". Les généraux D. Ioannidis, N. Dertilis et St. Varnavas sont condamnés à la réclusion à perpétuité, 17 autres militaires, dont le colonel Papadopoulos, à plusieurs années de prison, pour la répression sanglante de la révolte des étudiants en novembre 1973.